En réalité, victime de ses propres errements, sachant que sa forfaiture est étalée sur la place publique, avec ses conséquences politiques et sociales dont la destruction totale de l’image qu’il a voulu se construire, Diombass Diaw entreprend d’emporter dans sa descente aux enfers l’honorable citoyen et ministre d’Etat Oumar Sarr ainsi qu’une partie de l’état-major politique de celui-ci.
Dans la poursuite d’une telle entreprise de destruction, Diombass Diaw a élaboré la thèse du chantage politique que le maire de Dagana escompterait exercer sur lui avec l’usage du film pornographique. C’est vraiment abracadabrantesque. Quel besoin y a-t-il de faire du chantage politique sur une personne qui n’a aucun poids politique ? Pourquoi défoncer une porte déjà ouverte ? L’absurdité serait de le faire.
Dans les faits, Diombass Diaw, qui partage le même quartier que Oumar Sarr, n’a aucune représentativité ni dans son quartier ni dans la commune, encore moins dans le département.
Par un travail inlassable sur le terrain, dans la durée, le ministre d’Etat, ministre de l’Habitat, de la Construction et de l’Hydraulique est parvenu à devenir le leader incontesté du PDS dans tout le département de Dagana. En témoignent les scores électoraux du département de Dagana qui ont toujours été parmi les meilleurs du PDS depuis 1996, année durant laquelle Oumar Sarr a été l’un des rares maires bleus à être élu à l’issue des locales. Ces performances électorales des libéraux au niveau départemental sont certes imputables à l’ensemble des acteurs politiques et des populations, mais surtout au leadership de Oumar Sarr.
C’est pourquoi, il y a une forte dose d’incongruité dans les propos tenus dans la presse par Me Djiby Diallo, un des avocats de Diombass Diaw, quand il déclare que son client est « un adversaire politique à éliminer ». Maître Diallo, il est absurde de parler de chantage politique à propos d’une personne qui n’a aucun poids politique !
Règlement de comptes entre Diombass et Khadija dont il a fait capoter le projet de mariage
Aussi, Me Diallo, pour ramener les choses à leurs justes proportions, convient-il désormais, ne serait-ce que pour informer juste et vrai, de requalifier l’« affaire Diombass Diaw ». Il s’agit, comme nous l’avons susmentionné, d’un film pornographique dont l’acteur -quinquagénaire, père de trois enfants- a montré à l’opinion sa véritable personnalité d’aliéné sexuel, victime de son obsession refoulée depuis fort longtemps pour la dame Khadija Mbaye. L’auteur du délit d’adultère a été filmé et livré en tenue d’Adam à l’opinion nationale et internationale par sa « prostituée » qui a voulu régler avec lui un contentieux social. En effet, Diombass Diaw, de par son immoralité, a fait échouer le projet de mariage de cette même dame avec son ami d’enfance. Cette dernière a affirmé dans l’édition n°127 de l’hebdo Week End du 24 juillet 2010 : « La première fois que j’ai rencontré Diombass, c’est mon petit ami avec qui je sortais qui me l’avait présenté. Il m’a dit qu’il était son ami d’enfance (…). Je suis allée dans les toilettes pour femme, Diombass m’y a trouvé et a ouvert sa braquette et a sorti de sa poche beaucoup d’argent en me le proposant contre une pipe. Je l’ai insulté. »
Maître Diallo, c’est clair comme l’eau de roche. Il s’agit purement et simplement d’une affaire de règlement de comptes entre une dame et votre client qui a fait échouer le projet de mariage de celle-là avec l’ami d’enfance de celui-ci. En voilà deux malfaiteurs qui finissent, par on ne sait quelle alchimie, dans le règlement de leur différend relatif à la partie de jambes en l’air filmée par la principale instigatrice du chantage, par s’unir pour accuser des citoyens à l’honorabilité immaculée.
Me Diallo, la citation à comparaître, comme prévenu, devant le tribunal correctionnel de Dakar que vous avez servie au ministre d’Etat, entre dans le cadre de la stratégie d’agitation politique de votre client qui n’a d’autre existence que médiatique.
Pour notre part, nous faisons confiance à la justice de notre pays. Force restera à la loi. Le 28 octobre prochain, le droit sera dit.
Fait à Dakar, le 15/10/2010
La Coordination des Cadres Libéraux de Dagana
Dans la poursuite d’une telle entreprise de destruction, Diombass Diaw a élaboré la thèse du chantage politique que le maire de Dagana escompterait exercer sur lui avec l’usage du film pornographique. C’est vraiment abracadabrantesque. Quel besoin y a-t-il de faire du chantage politique sur une personne qui n’a aucun poids politique ? Pourquoi défoncer une porte déjà ouverte ? L’absurdité serait de le faire.
Dans les faits, Diombass Diaw, qui partage le même quartier que Oumar Sarr, n’a aucune représentativité ni dans son quartier ni dans la commune, encore moins dans le département.
Par un travail inlassable sur le terrain, dans la durée, le ministre d’Etat, ministre de l’Habitat, de la Construction et de l’Hydraulique est parvenu à devenir le leader incontesté du PDS dans tout le département de Dagana. En témoignent les scores électoraux du département de Dagana qui ont toujours été parmi les meilleurs du PDS depuis 1996, année durant laquelle Oumar Sarr a été l’un des rares maires bleus à être élu à l’issue des locales. Ces performances électorales des libéraux au niveau départemental sont certes imputables à l’ensemble des acteurs politiques et des populations, mais surtout au leadership de Oumar Sarr.
C’est pourquoi, il y a une forte dose d’incongruité dans les propos tenus dans la presse par Me Djiby Diallo, un des avocats de Diombass Diaw, quand il déclare que son client est « un adversaire politique à éliminer ». Maître Diallo, il est absurde de parler de chantage politique à propos d’une personne qui n’a aucun poids politique !
Règlement de comptes entre Diombass et Khadija dont il a fait capoter le projet de mariage
Aussi, Me Diallo, pour ramener les choses à leurs justes proportions, convient-il désormais, ne serait-ce que pour informer juste et vrai, de requalifier l’« affaire Diombass Diaw ». Il s’agit, comme nous l’avons susmentionné, d’un film pornographique dont l’acteur -quinquagénaire, père de trois enfants- a montré à l’opinion sa véritable personnalité d’aliéné sexuel, victime de son obsession refoulée depuis fort longtemps pour la dame Khadija Mbaye. L’auteur du délit d’adultère a été filmé et livré en tenue d’Adam à l’opinion nationale et internationale par sa « prostituée » qui a voulu régler avec lui un contentieux social. En effet, Diombass Diaw, de par son immoralité, a fait échouer le projet de mariage de cette même dame avec son ami d’enfance. Cette dernière a affirmé dans l’édition n°127 de l’hebdo Week End du 24 juillet 2010 : « La première fois que j’ai rencontré Diombass, c’est mon petit ami avec qui je sortais qui me l’avait présenté. Il m’a dit qu’il était son ami d’enfance (…). Je suis allée dans les toilettes pour femme, Diombass m’y a trouvé et a ouvert sa braquette et a sorti de sa poche beaucoup d’argent en me le proposant contre une pipe. Je l’ai insulté. »
Maître Diallo, c’est clair comme l’eau de roche. Il s’agit purement et simplement d’une affaire de règlement de comptes entre une dame et votre client qui a fait échouer le projet de mariage de celle-là avec l’ami d’enfance de celui-ci. En voilà deux malfaiteurs qui finissent, par on ne sait quelle alchimie, dans le règlement de leur différend relatif à la partie de jambes en l’air filmée par la principale instigatrice du chantage, par s’unir pour accuser des citoyens à l’honorabilité immaculée.
Me Diallo, la citation à comparaître, comme prévenu, devant le tribunal correctionnel de Dakar que vous avez servie au ministre d’Etat, entre dans le cadre de la stratégie d’agitation politique de votre client qui n’a d’autre existence que médiatique.
Pour notre part, nous faisons confiance à la justice de notre pays. Force restera à la loi. Le 28 octobre prochain, le droit sera dit.
Fait à Dakar, le 15/10/2010
La Coordination des Cadres Libéraux de Dagana