La date de livraison initialement prévue pour novembre 2010 a été revue à plusieurs reprises. Jusqu’ici, l’aéroport n’est pas encore sorti de terre.
Au début des travaux le groupe Saudi Bin Ladin avait 33 mois pour la construction. Un délai qui sera revu. Les ingénieurs découvrent que le terrain n’est pas apte à recevoir ce type d’infrastructure et demandent à l’Etat 46 autres milliards car « il n’a jamais été question, dans le contrat signé, de refaire le site qui doit abriter l’aéroport. Ils ont signé un contrat de construction et rien d’autre », rapporte L’Observateur.
Un troisième avenant surviendra le 17 juin 2011 avec une bagatelle de 27 milliards de FCfa.
Le 05 février dernier, le groupe Saudi Bin Ladin demande à l’Etat de payer cette fois-ci les coûts additionnels pour le bouclage de la construction de l’aéroport dont la dernière date de livraison est prévue pour le mois de novembre 2012. Mais, par la faute de l’Etat, les travaux n’ont pas pu être terminés.
Au finish, l’Aibd a déjà coûté au contribuable sénégalais 500 milliards de FCfa alors que les travaux ne sont pas encore à termes.
Le journal informe que des banques partenaires ont même menacé de se retirer du projet.
Au début des travaux le groupe Saudi Bin Ladin avait 33 mois pour la construction. Un délai qui sera revu. Les ingénieurs découvrent que le terrain n’est pas apte à recevoir ce type d’infrastructure et demandent à l’Etat 46 autres milliards car « il n’a jamais été question, dans le contrat signé, de refaire le site qui doit abriter l’aéroport. Ils ont signé un contrat de construction et rien d’autre », rapporte L’Observateur.
Un troisième avenant surviendra le 17 juin 2011 avec une bagatelle de 27 milliards de FCfa.
Le 05 février dernier, le groupe Saudi Bin Ladin demande à l’Etat de payer cette fois-ci les coûts additionnels pour le bouclage de la construction de l’aéroport dont la dernière date de livraison est prévue pour le mois de novembre 2012. Mais, par la faute de l’Etat, les travaux n’ont pas pu être terminés.
Au finish, l’Aibd a déjà coûté au contribuable sénégalais 500 milliards de FCfa alors que les travaux ne sont pas encore à termes.
Le journal informe que des banques partenaires ont même menacé de se retirer du projet.