Après son audition à la division des investigations criminelles, le 19 mars dernier, Barthélémy Dias avait soutenu qu’il ne rendrait pas son arme à feu et ne donnerait à la police pas plus qu’une photocopie de son permis de port d’arme. C’était après une audition de près de onze heures.
L’acte lui a été notifié aujourd’hui par la direction de la surveillance du territoire (Dst). Le secrétaire général des jeunesses socialistes avait tiré en l’air dans l’enceinte de l’université Cheikh Anta Diop, non loin de la Cité Claudel, dans la nuit du 18 au 19 mars. C’était, avait-il expliqué, pour prévenir d’agresseurs éventuels. Mais les policiers ont relevé qu’il détient une arme de calibre 9 mm. Trop élevé, selon la Direction de la surveillance du territoire. Une arme que ne doivent posséder que des professionnels.
L’usage de son arme lui est ainsi interdit. Reste à savoir s’il va le respecter. Après son audition Barthélémy Dias avait soutenu devant les journalistes, « qu’ils ( ndlr : les ministres Cheikh Tidiane Sy et Ousmane Ngom) se le tiennent pour dit, avec ou sans permis de port d’arme, je serais toujours armé ».
En cette période post électorale Barthélémy Dias pense que le pouvoir cherche à l’éliminer. Ainsi disait-il, « je ne rendrai pas mon arme. Je n’accepterai pas de participer aux conditions de mon élimination physique ».
xalimasn.com
L’acte lui a été notifié aujourd’hui par la direction de la surveillance du territoire (Dst). Le secrétaire général des jeunesses socialistes avait tiré en l’air dans l’enceinte de l’université Cheikh Anta Diop, non loin de la Cité Claudel, dans la nuit du 18 au 19 mars. C’était, avait-il expliqué, pour prévenir d’agresseurs éventuels. Mais les policiers ont relevé qu’il détient une arme de calibre 9 mm. Trop élevé, selon la Direction de la surveillance du territoire. Une arme que ne doivent posséder que des professionnels.
L’usage de son arme lui est ainsi interdit. Reste à savoir s’il va le respecter. Après son audition Barthélémy Dias avait soutenu devant les journalistes, « qu’ils ( ndlr : les ministres Cheikh Tidiane Sy et Ousmane Ngom) se le tiennent pour dit, avec ou sans permis de port d’arme, je serais toujours armé ».
En cette période post électorale Barthélémy Dias pense que le pouvoir cherche à l’éliminer. Ainsi disait-il, « je ne rendrai pas mon arme. Je n’accepterai pas de participer aux conditions de mon élimination physique ».
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