Le ministère des Infrastructures, des transports aériens et terrestres comme le Conseil d’administration de l’Asecna n’ont pas voulu trop s’avancer sur la question de la crise opposant le Sénégal à l’agence. Interpellés sur les points d’achoppements ayant installé la brouille entre les deux parties, ils ont renvoyé ces questions au Comité des ministres qui serait seul habilité à donner son appréciation sur la suite à donner.
Sur la question précise de la position de l’Asecna demandant au Sénégal de restituer les redevances de balisage des aéroports, le Président du Conseil d’administration de l’agence, M. Jacques Courbin, informe que « le comité des ministres a pris des positions là-dessus. Les gens y travaillent ». Avant de préciser que le Conseil d’administration est à la disposition « de nos politiques qui sont nos législateurs.
Donc on ne fait qu’appliquer des directives données ». La 111ème réunion du Conseil d’administration de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et Madagascar (Asecna), ouverte ce mercredi 17 décembre à Dakar, a été ainsi une occasion pour le Président du Conseil d’administration de revenir sur la crise qui sévit dans cette instance. M. Jacques Courbin a, à l’entame de son propos, reconnu que : « c’est vrai que l’Asecna connaît une crise et que celle-ci perdure : en effet, depuis maintenant 15 mois, notre communauté subit les conséquences quelque peu déstabilisatrices de l’initiative de deux de ses Etats membres qui ont pensé initialement que, en quittant l’agence, ils pourraient retirer plus d’avantage qu’en y restant ».
Pour lui, « le problème perdure dans la mesure où il y a toujours des formalités administratives qui sont à accomplir lorsqu’on prend une décision et nous attendons que ces formalités le soient ». Il assure ainsi que « la crise se gère de façon politique et responsable. Il y a donc toujours du mieux et on travaille beaucoup pour ça ». Le Président du conseil d’administration de l’Asecna fait savoir que pour cette réunion du Conseil d’administration, « on n’attend pas de signes particuliers du Sénégal parce que c’est une réunion traditionnelle tenue depuis 48 ans ».
Sur cette question, le secrétaire général du ministère des Infrastructures, des transports aériens et terrestres, M. Bassirou Guissé, a tenu à préciser que : « le Sénégal n’a jamais quitté l’Asecna.
Aujourd’hui, la présence de nos administrateurs à cette réunion du Conseil d’administration le prouve éloquemment ». Pour lui, « l’Asecna est une organisation et nous sommes dans cette organisation et nous travaillons avec tous les membres pour arriver à une situation qui soit des meilleures ».
Source: Sud Quotidien
Sur la question précise de la position de l’Asecna demandant au Sénégal de restituer les redevances de balisage des aéroports, le Président du Conseil d’administration de l’agence, M. Jacques Courbin, informe que « le comité des ministres a pris des positions là-dessus. Les gens y travaillent ». Avant de préciser que le Conseil d’administration est à la disposition « de nos politiques qui sont nos législateurs.
Donc on ne fait qu’appliquer des directives données ». La 111ème réunion du Conseil d’administration de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et Madagascar (Asecna), ouverte ce mercredi 17 décembre à Dakar, a été ainsi une occasion pour le Président du Conseil d’administration de revenir sur la crise qui sévit dans cette instance. M. Jacques Courbin a, à l’entame de son propos, reconnu que : « c’est vrai que l’Asecna connaît une crise et que celle-ci perdure : en effet, depuis maintenant 15 mois, notre communauté subit les conséquences quelque peu déstabilisatrices de l’initiative de deux de ses Etats membres qui ont pensé initialement que, en quittant l’agence, ils pourraient retirer plus d’avantage qu’en y restant ».
Pour lui, « le problème perdure dans la mesure où il y a toujours des formalités administratives qui sont à accomplir lorsqu’on prend une décision et nous attendons que ces formalités le soient ». Il assure ainsi que « la crise se gère de façon politique et responsable. Il y a donc toujours du mieux et on travaille beaucoup pour ça ». Le Président du conseil d’administration de l’Asecna fait savoir que pour cette réunion du Conseil d’administration, « on n’attend pas de signes particuliers du Sénégal parce que c’est une réunion traditionnelle tenue depuis 48 ans ».
Sur cette question, le secrétaire général du ministère des Infrastructures, des transports aériens et terrestres, M. Bassirou Guissé, a tenu à préciser que : « le Sénégal n’a jamais quitté l’Asecna.
Aujourd’hui, la présence de nos administrateurs à cette réunion du Conseil d’administration le prouve éloquemment ». Pour lui, « l’Asecna est une organisation et nous sommes dans cette organisation et nous travaillons avec tous les membres pour arriver à une situation qui soit des meilleures ».
Source: Sud Quotidien