Sur la base de cette liste, et compte tenu des possibilités offertes, le Bureau désignera le noyau initial qui devra assumer la responsabilité de la mise en place du CDP, dont le rôle est essentiel dans la mise en œuvre des dispositions relatives aux consultations citoyennes », lit-on dans la note circulaire du Président des Assises nationales.
Après cet état des lieux, ces consultations « doivent être invitées à indiquer les voies et moyens d’assurer leur participation effective à l’élaboration et à la mise en œuvre des mesures susceptibles de changer leurs conditions de vie et de travail, surtout en milieu rural, dans le cadre d’un consensus global ».
En effet, une attention particulière devra, selon la lettre circulaire, être accordée notamment à des domaines comme l’agriculture, l’hydraulique, l’élevage, la pêche, l’énergie, les mines, l’artisanat, le petit commerce local, la sécurité des personnes et des biens, la sécurité alimentaire, la santé publique, l’éducation, la protection des forêts et la lutte anti-pollution.
Dans les villes et petites communes, le Président Ahmadou Mactar Mbow a souhaité qu’une oreille attentive soit tendue à ceux qui exercent de petits métiers, en particulier les femmes. Ainsi, la Commission scientifique mettra à la disposition des CDP un guide de consultation et leur apportera l’appui nécessaire pour la collecte et l’exploitation des données, précise la circulaire.
Le Président Ahmadou Mactar Mbow n’a pas manqué d’expliquer que les « consultations doivent être l’occasion d’un dialogue large et direct avec les populations. Celles-ci doivent exprimer leurs points de vue sur leur condition, leurs problèmes dans tous les domaines d’activités ainsi que sur toutes questions revêtant de l’importance pour elles, sur les causes et les conséquences de la crise des valeurs, de l’exode rural ou l’émigration des jeunes ; entre autres. Elles doivent être en mesure de formuler des appréciations sur les projets et programmes conçus pour eux ».
Les consultations citoyennes constituent, dit-il, une étape cruciale dans le processus des Assises, indique le document. « Elles relèvent de la responsabilité des comités de pilotage départementaux et de l’étranger, assistés, selon les besoins, par les commissions transversales et suivant un schéma préparé par la Commission scientifique », fait remarquer le Président Ahmadou Mactar Mbow.
Le Président des Assises nationales souligne que les comités départementaux de pilotage (CDP) sont composés des représentants sur place des différentes parties prenantes aux Assises. « Ils peuvent s’adjoindre des représentants des organisations purement locales (socioprofessionnelles, de femmes, de jeunes, politiques etc.), des personnalités diverses vivant sur place et désireuses de participer aux Assisses en en respectant le règlement intérieur et le code de conduite », soutient-il.
Après cet état des lieux, ces consultations « doivent être invitées à indiquer les voies et moyens d’assurer leur participation effective à l’élaboration et à la mise en œuvre des mesures susceptibles de changer leurs conditions de vie et de travail, surtout en milieu rural, dans le cadre d’un consensus global ».
En effet, une attention particulière devra, selon la lettre circulaire, être accordée notamment à des domaines comme l’agriculture, l’hydraulique, l’élevage, la pêche, l’énergie, les mines, l’artisanat, le petit commerce local, la sécurité des personnes et des biens, la sécurité alimentaire, la santé publique, l’éducation, la protection des forêts et la lutte anti-pollution.
Dans les villes et petites communes, le Président Ahmadou Mactar Mbow a souhaité qu’une oreille attentive soit tendue à ceux qui exercent de petits métiers, en particulier les femmes. Ainsi, la Commission scientifique mettra à la disposition des CDP un guide de consultation et leur apportera l’appui nécessaire pour la collecte et l’exploitation des données, précise la circulaire.
Le Président Ahmadou Mactar Mbow n’a pas manqué d’expliquer que les « consultations doivent être l’occasion d’un dialogue large et direct avec les populations. Celles-ci doivent exprimer leurs points de vue sur leur condition, leurs problèmes dans tous les domaines d’activités ainsi que sur toutes questions revêtant de l’importance pour elles, sur les causes et les conséquences de la crise des valeurs, de l’exode rural ou l’émigration des jeunes ; entre autres. Elles doivent être en mesure de formuler des appréciations sur les projets et programmes conçus pour eux ».
Les consultations citoyennes constituent, dit-il, une étape cruciale dans le processus des Assises, indique le document. « Elles relèvent de la responsabilité des comités de pilotage départementaux et de l’étranger, assistés, selon les besoins, par les commissions transversales et suivant un schéma préparé par la Commission scientifique », fait remarquer le Président Ahmadou Mactar Mbow.
Le Président des Assises nationales souligne que les comités départementaux de pilotage (CDP) sont composés des représentants sur place des différentes parties prenantes aux Assises. « Ils peuvent s’adjoindre des représentants des organisations purement locales (socioprofessionnelles, de femmes, de jeunes, politiques etc.), des personnalités diverses vivant sur place et désireuses de participer aux Assisses en en respectant le règlement intérieur et le code de conduite », soutient-il.