L’Alliance pour la République et ses alliés de Benno Bokk Yaakaar risquent de connaître un revers difficile à accepter à Matam. Une pratique d’un autre âge, un désordre général et une zizanie totale sont évoqués pour caractériser la situation de la caolition dans cette localité du Fouta. Mais, il a été surtout décrié le comportement du député maire des Agnam, Farba Ngom. Abdallah Ba, Responsable politique à Dabia Odedji, Président du Groupe de Réflexion et d'Action pour le Bosséa (GRAB- Matam)et Membre du mouvement « RENFORT » considère que les agissements de Farba Ngom agace et d'indispose. Beaucoup de militants, regrette-t-il, tournent présentement, le dos au parti et, à la coalition.
Ainsi, Abdallah Ba dénonce la chute libre de la coalition BBY dans le département de Matam, après une trajectoire ascendante. Après les législatives de 2022, il souligne que les opérations de parrainages, ont permis aujourd'hui, de constater une opposition en pleine ébullition. Cette dernière, occupant les militants, multiplie les initiatives. Alors qu’en projetant de perturber de futures réunions d'adversaires politiques, l'APR est préoccupée entre Ourossogui et Matam à recruter, à nourrir et, à loger des bataillons de nervis.
Très conscient de cet état de fait, Responsable politique à Dabia Odedji relève la nécessité d’aller vers une vraie régénération de l'APR. D’après le protestataire, les méthodes doivent changer pour éviter de véritables risques qui guettent le parti. Il reste convaincu que de l’impératif de trouver une stratégie, devant prendre en compte les opinions des uns et des autres. Puisque, Farba Ngom, faisant dans cette localité la pluie et le beau temps, ne peut continuer à se considérer, comme le Roi du Bosséa (NDLR : Zone géographique regroupant OREFONDE,AGNAMS,THILOGNE et DABIA). Sur ce, il exhorte à changer la façon de communiquer avec les populations qui doivent être considérées comme une réelle entité, composée certes d’analphabètes. Mais également d’intellectuels et surtout de sénégalais politiquement majeurs.
Ailleurs, l’attitude paternaliste et infantilisante du Coordonnateur départemental de BBY face aux problèmes du parti et de ses alliés est violemment décriée. « Si la coalition de BBY veut largement gagner, il lui faut dès maintenant faire peau neuve. Elle doit rompre définitivement avec un passé qui consiste, à faire distribuer pompeusement des sommes d'argent astronomiques aux populations. Ces dernières se retrouvent après partage avec 300 FCfa ou 500 FCfa», se plaint le Président du Groupe de Réflexion et d'Action pour le Bosséa. Il fustige même, l’attitude de certains ténors de l’APR dans le département de Matam.
Très engagé, ce responsable politique, frustré des méthodes appelle à reconnaître que l'APR est en situation de crise interne dans le département de Matam. En plus, renseigne-t-il, des querelles entre Me Malick Sall et Farba Ngom, il y a l'arrogance des Ministres et des DG. Alors que, le Parti a besoin d'une véritable cure de jouvence intellectuelle et morale, une profonde restructuration, pour déboucher sur une véritable régénération. Ce membre du mouvement « RENFORT » exige des changements de méthodes et de démarches pour remplacer les réfractaires. Selon lui, l’avenir du parti dépend d’une régénérescence fondée à la fois sur les acquis et sur les impulsions nouvelles.
Précisant que le premier ministre et candidat de Benno, Amadou Bâ a tout son soutien total, Abdallah Bâ encourage à secouer le cocotier pour gagner l’élection présidentielle de 2024. Il appelle à se préparer en équipe dès maintenant. Seules, conclut-il, l’unité et la solidarité permettront à la coalition de remporter l’élection présidentielle au soir du 24 février 2024.
Ainsi, Abdallah Ba dénonce la chute libre de la coalition BBY dans le département de Matam, après une trajectoire ascendante. Après les législatives de 2022, il souligne que les opérations de parrainages, ont permis aujourd'hui, de constater une opposition en pleine ébullition. Cette dernière, occupant les militants, multiplie les initiatives. Alors qu’en projetant de perturber de futures réunions d'adversaires politiques, l'APR est préoccupée entre Ourossogui et Matam à recruter, à nourrir et, à loger des bataillons de nervis.
Très conscient de cet état de fait, Responsable politique à Dabia Odedji relève la nécessité d’aller vers une vraie régénération de l'APR. D’après le protestataire, les méthodes doivent changer pour éviter de véritables risques qui guettent le parti. Il reste convaincu que de l’impératif de trouver une stratégie, devant prendre en compte les opinions des uns et des autres. Puisque, Farba Ngom, faisant dans cette localité la pluie et le beau temps, ne peut continuer à se considérer, comme le Roi du Bosséa (NDLR : Zone géographique regroupant OREFONDE,AGNAMS,THILOGNE et DABIA). Sur ce, il exhorte à changer la façon de communiquer avec les populations qui doivent être considérées comme une réelle entité, composée certes d’analphabètes. Mais également d’intellectuels et surtout de sénégalais politiquement majeurs.
Ailleurs, l’attitude paternaliste et infantilisante du Coordonnateur départemental de BBY face aux problèmes du parti et de ses alliés est violemment décriée. « Si la coalition de BBY veut largement gagner, il lui faut dès maintenant faire peau neuve. Elle doit rompre définitivement avec un passé qui consiste, à faire distribuer pompeusement des sommes d'argent astronomiques aux populations. Ces dernières se retrouvent après partage avec 300 FCfa ou 500 FCfa», se plaint le Président du Groupe de Réflexion et d'Action pour le Bosséa. Il fustige même, l’attitude de certains ténors de l’APR dans le département de Matam.
Très engagé, ce responsable politique, frustré des méthodes appelle à reconnaître que l'APR est en situation de crise interne dans le département de Matam. En plus, renseigne-t-il, des querelles entre Me Malick Sall et Farba Ngom, il y a l'arrogance des Ministres et des DG. Alors que, le Parti a besoin d'une véritable cure de jouvence intellectuelle et morale, une profonde restructuration, pour déboucher sur une véritable régénération. Ce membre du mouvement « RENFORT » exige des changements de méthodes et de démarches pour remplacer les réfractaires. Selon lui, l’avenir du parti dépend d’une régénérescence fondée à la fois sur les acquis et sur les impulsions nouvelles.
Précisant que le premier ministre et candidat de Benno, Amadou Bâ a tout son soutien total, Abdallah Bâ encourage à secouer le cocotier pour gagner l’élection présidentielle de 2024. Il appelle à se préparer en équipe dès maintenant. Seules, conclut-il, l’unité et la solidarité permettront à la coalition de remporter l’élection présidentielle au soir du 24 février 2024.