Interpelé lors d’un point de presse sur une éventuelle démission du ministre de l’Intérieur, M. Coulibaly a répondu : ‘’Pour ce qui est de la démission de Pathé Seck, il est logique de le laisser avec son âme et conscience. C’est à lui de décider de ce qu’il va faire. En ce qui me concerne, je ne vois pas la raison qui explique sa démission’’.
Sur le niveau d’information du gouvernement dans cette affaire, Abdou Lalif Coulibaly a déclaré n’avoir ‘’jamais dit que le gouvernement savait’’.
Une affaire de trafic de drogue secoue la haute hiérarchie de la police. Elle est partie d'un rapport rendu public il y a quelques jours par le journal Le quotidien, dans lequel il est fait état d'une implication présumée dans une affaire de trafic de drogue du directeur général de la police nationale, le commissaire Abdoulaye Niang.
Ces accusations ont été portées contre lui par l'ancien directeur de l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS), le commissaire Cheikhna Keïta.
Sur la base de ces informations de presse, les autorités ont demandé l'ouverture d'une enquête pour situer les responsabilités des personnes concernées.
Selon Abdoul Latif Coulibaly, un rapport de l’Inspection générale des services de sécurité sur cette affaire a été présenté au conseil des ministres, jeudi.
''Ce rapport a établi un certain nombre de fautes qui ont été constatées en particulier contre le commissaire Cheikh Sadibou Keïta et que des mesures disciplinaires très fortes devront être prises à son égard et de toutes les personnes qui sont impliquées dans ce dossier d’une manière ou d'une autre’’, a-t-il expliqué.
Le conseil des ministres a décidé de relever le commissaire Abdoulaye Niang de son poste, en guise de mesure conservatoire. Il a été remplacé par Anna Sémou Faye.
APS
Sur le niveau d’information du gouvernement dans cette affaire, Abdou Lalif Coulibaly a déclaré n’avoir ‘’jamais dit que le gouvernement savait’’.
Une affaire de trafic de drogue secoue la haute hiérarchie de la police. Elle est partie d'un rapport rendu public il y a quelques jours par le journal Le quotidien, dans lequel il est fait état d'une implication présumée dans une affaire de trafic de drogue du directeur général de la police nationale, le commissaire Abdoulaye Niang.
Ces accusations ont été portées contre lui par l'ancien directeur de l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS), le commissaire Cheikhna Keïta.
Sur la base de ces informations de presse, les autorités ont demandé l'ouverture d'une enquête pour situer les responsabilités des personnes concernées.
Selon Abdoul Latif Coulibaly, un rapport de l’Inspection générale des services de sécurité sur cette affaire a été présenté au conseil des ministres, jeudi.
''Ce rapport a établi un certain nombre de fautes qui ont été constatées en particulier contre le commissaire Cheikh Sadibou Keïta et que des mesures disciplinaires très fortes devront être prises à son égard et de toutes les personnes qui sont impliquées dans ce dossier d’une manière ou d'une autre’’, a-t-il expliqué.
Le conseil des ministres a décidé de relever le commissaire Abdoulaye Niang de son poste, en guise de mesure conservatoire. Il a été remplacé par Anna Sémou Faye.
APS