Le président Wade qui dessine ainsi son avenir après le champ politique regrette : « aujourd’hui, il n’y a plus de discussions intellectuelles. Il n’y a que des discussions politiques. » La politique dit-il « c’est bien, ce n’est pas tout ; ce n’est qu’une parcelle de la vie ». apprend le président Wade. Non sans « espérer qu’après le mois de février 2012 (élection présidentielle), on mettra les discussions politiques dans les tiroirs avec des cadenas très solides pour les ressortir plus tard ».
A la classe politique et aux intellectuels, sénégalais Me Wade les invite à la discussion, surtout à des échanges intellectuels sur des sujets de valeurs. « Au-delà du Sénégal, il y a les problèmes de l’Afrique, du monde. Nous ne pouvons pas nous détourner de ce qui se passe aujourd’hui en Europe, au Etats-Unis. Si ça se passe mal là-bas, ça va nous retomber sur la tête. Nous devons comprendre tout cela et nous insérer dans l’international », alerte le chef de l’Etat. L’essentiel aujourd’hui, relève-t-il est de développer le culte du dialogue ».
Aux écrivains dit-il « il y a une forte production et une très faible consommation ». La faute, indique Me Wade « c’est par ce que les écrivains ne suivent pas le chemin qu’il faut pour aller vers les populations qui doivent consommer les livres ».
A la classe politique et aux intellectuels, sénégalais Me Wade les invite à la discussion, surtout à des échanges intellectuels sur des sujets de valeurs. « Au-delà du Sénégal, il y a les problèmes de l’Afrique, du monde. Nous ne pouvons pas nous détourner de ce qui se passe aujourd’hui en Europe, au Etats-Unis. Si ça se passe mal là-bas, ça va nous retomber sur la tête. Nous devons comprendre tout cela et nous insérer dans l’international », alerte le chef de l’Etat. L’essentiel aujourd’hui, relève-t-il est de développer le culte du dialogue ».
Aux écrivains dit-il « il y a une forte production et une très faible consommation ». La faute, indique Me Wade « c’est par ce que les écrivains ne suivent pas le chemin qu’il faut pour aller vers les populations qui doivent consommer les livres ».