
Dans les colonnes du Populaire, le président du mouvement dénonce la « position rétrograde du BCG et de son leader Jean Paul Dias. L’évolution démocratique des dernières années montre clairement le rôle décisif que ces forces ont joué dans les luttes politiques et la prise en compte des enjeux citoyens délaissés par les partis politiques. » Amadou Guèye affirme que la position du BCG est symptomatique de cette volonté de s’accaparer le champ politique aux seuls profits des partis sous prétexte qu’ils disposent d’un récépissé. Toutefois, l’UNIS se dit réaliste, le mouvement ne croit pas que l’Assemblée nationale adoptera le projet de loi qui leur permettra de prendre part aux élections locales