Les cas d’accident du travail recensés en 2016 au Sénégal sont au nombre de 1 913. L’annonce est de Mme Marie Diallo, directrice de la Prévention des risques professionnels. D’après Mme Diallo, qui dit tenir ces statistiques de la Caisse de Sécurité Sociale, 20,39% de ces 1 913 cas concernent les industries agro-alimentaires là où les statistiques sur les maladies professionnelles continuent d’inquiéter.
La directrice de la Prévention des risques professionnels a fait savoir que ces chiffres ont connu une baisse progressive comparés à ceux des autres années. Insistant sur la nécessité de prévenir les risques professionnels, objet de la semaine africaine consacrée à ce sujet, elle a souligné que le thème de la 21e journée africaine de la Prévention des risques professionnels, « Evaluations des risques professionnels, gage d’une modernisation des outils de gestion de la Sécurité et santé au travail (Sst) », prévue le 20 avril prochain, « trouve sa pertinence dans le fait que la mise en place d’un système de management stratégique, parce que participatif et finalisé, peut contribuer à améliorer les conditions de travail, d’hygiène et de sécurité, pouvant et devant garantir aux travailleurs un environnement décent, salubre, sûr et sécurisé pour une meilleure productivité au profit des entreprises et de toute la Nation ».
Le directeur général de la Caisse de Sécurité Sociale, Assane Soumaré, a quant à lui mis l’accent sur les efforts considérables fournis par l’Etat et la Caisse de sécurité sociale dans le cadre de la Prévention des risques professionnels. Pour lui, il est important que le capital humain soit préservé, car devant supporter le développement de notre pays.
Le gouverneur de la région de Saint- Louis, Alioune Aidara Niang, qui présidait la cérémonie, a de son côté insisté sur les conséquences désastreuses engendrés par les nombreux accidents de travail qui ont un coût économique, financier et humain très élevé et qui souvent, conduisent leurs victimes à la pauvreté. Il a par ailleurs officiellement lancé les activités du Mois africain de la prévention (Map) et procédé à la mise en place du bureau du Comité sectoriel et de sécurité des industries agro-alimentaires. Une structure devant suppléer celles déjà existantes et qui n’ont cependant pas pu jouer efficacement le rôle de veille qui leur était dévolu.
Le Quotidien,
La directrice de la Prévention des risques professionnels a fait savoir que ces chiffres ont connu une baisse progressive comparés à ceux des autres années. Insistant sur la nécessité de prévenir les risques professionnels, objet de la semaine africaine consacrée à ce sujet, elle a souligné que le thème de la 21e journée africaine de la Prévention des risques professionnels, « Evaluations des risques professionnels, gage d’une modernisation des outils de gestion de la Sécurité et santé au travail (Sst) », prévue le 20 avril prochain, « trouve sa pertinence dans le fait que la mise en place d’un système de management stratégique, parce que participatif et finalisé, peut contribuer à améliorer les conditions de travail, d’hygiène et de sécurité, pouvant et devant garantir aux travailleurs un environnement décent, salubre, sûr et sécurisé pour une meilleure productivité au profit des entreprises et de toute la Nation ».
Le directeur général de la Caisse de Sécurité Sociale, Assane Soumaré, a quant à lui mis l’accent sur les efforts considérables fournis par l’Etat et la Caisse de sécurité sociale dans le cadre de la Prévention des risques professionnels. Pour lui, il est important que le capital humain soit préservé, car devant supporter le développement de notre pays.
Le gouverneur de la région de Saint- Louis, Alioune Aidara Niang, qui présidait la cérémonie, a de son côté insisté sur les conséquences désastreuses engendrés par les nombreux accidents de travail qui ont un coût économique, financier et humain très élevé et qui souvent, conduisent leurs victimes à la pauvreté. Il a par ailleurs officiellement lancé les activités du Mois africain de la prévention (Map) et procédé à la mise en place du bureau du Comité sectoriel et de sécurité des industries agro-alimentaires. Une structure devant suppléer celles déjà existantes et qui n’ont cependant pas pu jouer efficacement le rôle de veille qui leur était dévolu.
Le Quotidien,