Porté par cette chaleur humaine, cette sympathie et cette affection, le patron de la Nouvelle Responsabilité, se met en mode pulaar. Une fibre sensible qui, vraisemblablement, touche au plus profond d’eux mêmes, les locaux.
Point de doute, ils sont conquis. Chaque parole, chaque geste, chaque signe…dopent la foule. Ils l’excitent et l’amènent à trépigner et sauter de joie comme des momes. Un moment de communion incompatible avec l’adresse que tente vainement de faire l’ancien Premier ministre.
Enfin, il y parvient après plusieurs tentatives. Occasion rêvée pour Amadou Ba, prompt à répondre, une fois n’est pas coutume, favorablement à l’invitation au débat, réitérée hier à Kaolack par Ousmane Sonko. Toutefois, le leader de Jamm ak Njarin, souhaite que ce soit, «plutôt des travaux pratiques ». Il entend par là, «qu’au cours de cette campagne, lui comme Sonko, passent au peigne fin, les réalisations, les budget investis, ce qui reste à être fait et évalue chacun de son côté, les politiques envisagées dans le cadre du développement de nos territoires ».
Un débat, donc de «proximité » qui aura le mérite d’éclairer l’opinion sur la connaissance mais surtout sur la maîtrise des initiatives pouvant précipiter l’essor du Sénégal.
Sur un autre registre, Amadou Ba renseigne que le sujet de l’émigration irrégulière, pouvait à lui seul, constituer la trame de son discours à Goudiry. Un département ayant récemment payé un lourd tribu dans la traversée de l’Atlantique par ses fils. Et pourtant rappelle l’ancien Premier ministre, «ceux qui promettaient de faire décoller le pays en un temps record, une fois aux affaires, semblent aujourd’hui, en panne d’idées et d’inspiration à tel enseigne que l’espoir s’amenuise, au point de faire fuir nos enfants vers l’étranger à la recherche de lendemain meilleurs ».
Aussi, le Président de la Nouvelle Responsabilité appelle-t-il à rompre avec les propos qui peuvent saper l’unité de la nation et les scènes de violences. Qu’elles soient verbales ou physiques.
Point de doute, ils sont conquis. Chaque parole, chaque geste, chaque signe…dopent la foule. Ils l’excitent et l’amènent à trépigner et sauter de joie comme des momes. Un moment de communion incompatible avec l’adresse que tente vainement de faire l’ancien Premier ministre.
Enfin, il y parvient après plusieurs tentatives. Occasion rêvée pour Amadou Ba, prompt à répondre, une fois n’est pas coutume, favorablement à l’invitation au débat, réitérée hier à Kaolack par Ousmane Sonko. Toutefois, le leader de Jamm ak Njarin, souhaite que ce soit, «plutôt des travaux pratiques ». Il entend par là, «qu’au cours de cette campagne, lui comme Sonko, passent au peigne fin, les réalisations, les budget investis, ce qui reste à être fait et évalue chacun de son côté, les politiques envisagées dans le cadre du développement de nos territoires ».
Un débat, donc de «proximité » qui aura le mérite d’éclairer l’opinion sur la connaissance mais surtout sur la maîtrise des initiatives pouvant précipiter l’essor du Sénégal.
Sur un autre registre, Amadou Ba renseigne que le sujet de l’émigration irrégulière, pouvait à lui seul, constituer la trame de son discours à Goudiry. Un département ayant récemment payé un lourd tribu dans la traversée de l’Atlantique par ses fils. Et pourtant rappelle l’ancien Premier ministre, «ceux qui promettaient de faire décoller le pays en un temps record, une fois aux affaires, semblent aujourd’hui, en panne d’idées et d’inspiration à tel enseigne que l’espoir s’amenuise, au point de faire fuir nos enfants vers l’étranger à la recherche de lendemain meilleurs ».
Aussi, le Président de la Nouvelle Responsabilité appelle-t-il à rompre avec les propos qui peuvent saper l’unité de la nation et les scènes de violences. Qu’elles soient verbales ou physiques.