Alioune Badara Mbacké, médecin, accusé de coups et blessures volontaires sur son épouse Dieynaba Sangharé Ndiaye, devrait comparaître aujourd’hui mercredi, devant le Tribunal de Matam.
Selon "L'Observateur, repris par "Senenews", cette comparution fait suite à une plainte déposée par son épouse, après des violences ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) de 10 jours. Cependant, selon des informations obtenues par le journal, il est fort probable que le dossier soit renvoyé à une date ultérieure.
En effet, des sources proches du parquet de Matam indiquent qu’il est rare qu’une affaire soit prête à être jugée dès sa première présentation devant le tribunal. La procédure judiciaire nécessite que des citations à comparaître soient délivrées, à la fois au prévenu et à la partie civile. Ces citations doivent être intégrées dans le dossier, pour que celui-ci soit jugé en bonne et due forme.
En l’absence de ces formalités essentielles, il est très probable que l’audience prévue pour aujourd’hui, soit reportée. Le renvoi permettra ainsi d’assurer que toutes les démarches nécessaires soient accomplies avant la tenue du procès.
Pour rappel, depuis lundi, une vague d'indignation déferle autour de l’affaire Dieynaba Ndiaye, condamnée à trois mois de prison ferme et à verser 4 millions FCfa de dommages et intérêts, pour avoir menacé de révéler des photos compromettantes de son époux.
Selon certains proches, repris par nos confrères, elle subissait des violences conjugales. Jugée trop sévère, cette condamnation a suscité une large mobilisation. De nombreux Sénégalais expriment leur soutien à Dieynaba, en signant une pétition réclamant l’arrestation du mari.
Selon "L'Observateur, repris par "Senenews", cette comparution fait suite à une plainte déposée par son épouse, après des violences ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) de 10 jours. Cependant, selon des informations obtenues par le journal, il est fort probable que le dossier soit renvoyé à une date ultérieure.
En effet, des sources proches du parquet de Matam indiquent qu’il est rare qu’une affaire soit prête à être jugée dès sa première présentation devant le tribunal. La procédure judiciaire nécessite que des citations à comparaître soient délivrées, à la fois au prévenu et à la partie civile. Ces citations doivent être intégrées dans le dossier, pour que celui-ci soit jugé en bonne et due forme.
En l’absence de ces formalités essentielles, il est très probable que l’audience prévue pour aujourd’hui, soit reportée. Le renvoi permettra ainsi d’assurer que toutes les démarches nécessaires soient accomplies avant la tenue du procès.
Pour rappel, depuis lundi, une vague d'indignation déferle autour de l’affaire Dieynaba Ndiaye, condamnée à trois mois de prison ferme et à verser 4 millions FCfa de dommages et intérêts, pour avoir menacé de révéler des photos compromettantes de son époux.
Selon certains proches, repris par nos confrères, elle subissait des violences conjugales. Jugée trop sévère, cette condamnation a suscité une large mobilisation. De nombreux Sénégalais expriment leur soutien à Dieynaba, en signant une pétition réclamant l’arrestation du mari.