Le débat a ainsi glissé sur le terrain du règlement de compte familial entre Faye et Sall. Avec en toile de fond une guerre de positionnement, dont le point d’orgue serait la succession du président de la République.
La bataille d’opinion dont les protagonistes seraient principalement la première Dame Marième Faye Sall, et bien entendu, le frère du président, Aliou Sall, fait donc rage.
La faille est bien trouvée. Des sources dignes de foi ont confirmé, en effet, les relations souvent heurtées entre la première Dame et sa belle famille. Un différend qui serait né aux premières heures du mariage du couple présidentiel, notamment entre Marième Faye Sall et une cousine du président.
L’on cherche donc à creuser le fossé. Et des plumitifs seraient même armés pour porter la pique létale au camp d’en face.
Mais il n’en rien, cette ‘’tension familiale’’ n’est pas le soubassement du scandale du pétrole, qui est dépeint comme un complot, dont l’instigatrice serait la Première Dame.
Marième Faye Sall avait d’ailleurs appelé personnellement Aliou Sall, après la sortie du journaliste Madiambal Diagne, qui n’avait pas été tendre avec le frère du président. Elle avait assuré à son beau frère n’être ni de loin, ni de prêt mêlée à ses démêlées.
Qu’à cela ne tienne, tous les coups sont désormais permis pour jeter l’opprobre et le discrédit sur l’adversaire désigné. Qu’importe la grossièreté de l’infamie. Pourvu que l’on touche sa cible.
L’On apprend ainsi, d’un canard pourtant jugé crédible, qu’un frère de la première Dame, Malick Seck, pour ne pas le nommer, tirerait les ficelles pour abattre Aliou Sall, sous la dictée de sa sœur.
Cela fait 7 années que Macky Sall est aux affaires, et ils sont bien rares, les sénégalais qui ont jusque-là entendu parler du nom de Malick Seck, ce frère pourtant très proche de Marième Faye Sall.
Et ils sont certainement bien nombreux à avoir croisé le bonhomme dans les rues de Dakar sans lever sur les yeux sur lui. Parce que Malick Seck n’a pas choisi de s’afficher et d’exhiber des ambitions. Non pas parce qu’il a cherché à cacher son jeu. Mais parce qu’il a tout simplement choisi de se mettre en marge des lambris dorés du pouvoir.
Ceux qui le connaissent, le savent. Malick Seck n’a jamais essayé d’utiliser sa position (frère de la première Dame), pour profiter de prébendes indues.
Les combines dont il est accusé, pour monter en épingle l’opposition, particulièrement le PDS, afin de déclencher une enquête parlementaire contre Aliou Sall, sont des pratiques réservées aux comploteurs politiques chevronnés dont Malick Seck ne fait certainement pas partie. Lui qui est caricaturé par ses proches comme un ‘’trop tendre, incapable de tuer une mouche’’.
Et puis, aurait-voulu combattre Aliou Sall, que Malick Seck s’y prendrait sans doute autrement. Certainement pas à travers une commission d’enquête parlementaire de l’Assemblée nationale, qui n’a plus sa raison d’être, dans la mesure où le procureur de la République a déjà ouvert une enquête dans ce dossier.
Les souteneurs de Aliou Sall le disent. Son seul tort dans cette affaire, c’est d’être le frère du président de la République, que des gens cherchent à atteindre à travers sa personne.
Le jeune Malick Seck devra-t-il, lui aussi, payer sa proximité connue et assumée et avec sa sœur et avec son beau-frère que des gens cherchent visiblement à l'abattre.
Le président va-t-il besoin en ce moment des insinuations de complots venant d'ici et d'ailleurs ? Que la raison prévale pour le protéger de ses adversaires !
Si tel est le cas, l’erreur de casting est particulièrement flagrante.
Leral.net
La bataille d’opinion dont les protagonistes seraient principalement la première Dame Marième Faye Sall, et bien entendu, le frère du président, Aliou Sall, fait donc rage.
La faille est bien trouvée. Des sources dignes de foi ont confirmé, en effet, les relations souvent heurtées entre la première Dame et sa belle famille. Un différend qui serait né aux premières heures du mariage du couple présidentiel, notamment entre Marième Faye Sall et une cousine du président.
L’on cherche donc à creuser le fossé. Et des plumitifs seraient même armés pour porter la pique létale au camp d’en face.
Mais il n’en rien, cette ‘’tension familiale’’ n’est pas le soubassement du scandale du pétrole, qui est dépeint comme un complot, dont l’instigatrice serait la Première Dame.
Marième Faye Sall avait d’ailleurs appelé personnellement Aliou Sall, après la sortie du journaliste Madiambal Diagne, qui n’avait pas été tendre avec le frère du président. Elle avait assuré à son beau frère n’être ni de loin, ni de prêt mêlée à ses démêlées.
Qu’à cela ne tienne, tous les coups sont désormais permis pour jeter l’opprobre et le discrédit sur l’adversaire désigné. Qu’importe la grossièreté de l’infamie. Pourvu que l’on touche sa cible.
L’On apprend ainsi, d’un canard pourtant jugé crédible, qu’un frère de la première Dame, Malick Seck, pour ne pas le nommer, tirerait les ficelles pour abattre Aliou Sall, sous la dictée de sa sœur.
Cela fait 7 années que Macky Sall est aux affaires, et ils sont bien rares, les sénégalais qui ont jusque-là entendu parler du nom de Malick Seck, ce frère pourtant très proche de Marième Faye Sall.
Et ils sont certainement bien nombreux à avoir croisé le bonhomme dans les rues de Dakar sans lever sur les yeux sur lui. Parce que Malick Seck n’a pas choisi de s’afficher et d’exhiber des ambitions. Non pas parce qu’il a cherché à cacher son jeu. Mais parce qu’il a tout simplement choisi de se mettre en marge des lambris dorés du pouvoir.
Ceux qui le connaissent, le savent. Malick Seck n’a jamais essayé d’utiliser sa position (frère de la première Dame), pour profiter de prébendes indues.
Les combines dont il est accusé, pour monter en épingle l’opposition, particulièrement le PDS, afin de déclencher une enquête parlementaire contre Aliou Sall, sont des pratiques réservées aux comploteurs politiques chevronnés dont Malick Seck ne fait certainement pas partie. Lui qui est caricaturé par ses proches comme un ‘’trop tendre, incapable de tuer une mouche’’.
Et puis, aurait-voulu combattre Aliou Sall, que Malick Seck s’y prendrait sans doute autrement. Certainement pas à travers une commission d’enquête parlementaire de l’Assemblée nationale, qui n’a plus sa raison d’être, dans la mesure où le procureur de la République a déjà ouvert une enquête dans ce dossier.
Les souteneurs de Aliou Sall le disent. Son seul tort dans cette affaire, c’est d’être le frère du président de la République, que des gens cherchent à atteindre à travers sa personne.
Le jeune Malick Seck devra-t-il, lui aussi, payer sa proximité connue et assumée et avec sa sœur et avec son beau-frère que des gens cherchent visiblement à l'abattre.
Le président va-t-il besoin en ce moment des insinuations de complots venant d'ici et d'ailleurs ? Que la raison prévale pour le protéger de ses adversaires !
Si tel est le cas, l’erreur de casting est particulièrement flagrante.
Leral.net