Selon les premiers éléments recueillis, l’agression a eu lieu lors d’une réunion à caractère privé, organisée dans les locaux de la Convention Démocratique pour les Peuples Africains (CDPA), un parti politique togolais.
Leur communiqué renseigne que la police togolaise, informée des faits bien après leur survenance, a immédiatement diligenté une enquête en collaboration avec les autorités judiciaires. L’objectif est de clarifier les circonstances de l’incident et d’identifier les auteurs des violences, afin qu’ils en répondent devant la justice.
D’après la DGPN, Guy Marius Sagna séjournait à Lomé dans le cadre de la troisième session extraordinaire du Parlement de la CEDEAO, pour laquelle toutes les mesures de sécurité nécessaires avaient été mises en place.
Cependant, les autorités togolaises n’avaient été ni informées ni consultées au sujet de l’activité privée organisée au siège de la CDPA et aucune mesure spécifique de sécurité n’avait donc été déployée. La police nationale regrette vivement cet incident, soulignant que la sécurité de cette rencontre incombait aux organisateurs de l’événement, lesquels n’ont pas alerté promptement les autorités en cas d'intrusion ou de débordement.
Le communiqué invite les organisateurs de l'événement ainsi que toutes les personnes concernées, à collaborer pleinement avec les forces de l’ordre, en fournissant des informations et preuves susceptibles de faire avancer l'enquête. La Direction Centrale de la Police Judiciaire a mis à disposition un numéro pour toute information supplémentaire.
Leur communiqué renseigne que la police togolaise, informée des faits bien après leur survenance, a immédiatement diligenté une enquête en collaboration avec les autorités judiciaires. L’objectif est de clarifier les circonstances de l’incident et d’identifier les auteurs des violences, afin qu’ils en répondent devant la justice.
D’après la DGPN, Guy Marius Sagna séjournait à Lomé dans le cadre de la troisième session extraordinaire du Parlement de la CEDEAO, pour laquelle toutes les mesures de sécurité nécessaires avaient été mises en place.
Cependant, les autorités togolaises n’avaient été ni informées ni consultées au sujet de l’activité privée organisée au siège de la CDPA et aucune mesure spécifique de sécurité n’avait donc été déployée. La police nationale regrette vivement cet incident, soulignant que la sécurité de cette rencontre incombait aux organisateurs de l’événement, lesquels n’ont pas alerté promptement les autorités en cas d'intrusion ou de débordement.
Le communiqué invite les organisateurs de l'événement ainsi que toutes les personnes concernées, à collaborer pleinement avec les forces de l’ordre, en fournissant des informations et preuves susceptibles de faire avancer l'enquête. La Direction Centrale de la Police Judiciaire a mis à disposition un numéro pour toute information supplémentaire.