Très en verve, Aliou Sow explique : "Idrissa Seck ne peut pas digérer que Macky Sall, son ancien poulain qu’il dominait, soit Président, et que lui soit encore en errance, avec une chute vertigineuse de ses scores".
Toujours d'après l’ancien ministre de la Décentralisation, Idrissa Seck a été "le premier au Sénégal à parler d'enregistrements de discussion, à l’insu de ses interlocuteurs". "Ne serait-ce que pour ça", indique-t-il, "on doit pas pouvoir lui faire confiance. C’est lui qui est l’instigateur du fait que, quand vous allez dans un bureau ministériel, on vous demande de laisser votre portable au Secrétariat, parce qu’on a peur que vous enregistriez le patron, à son insu. On ne connaissait pas ça. C’est Idrissa Seck l’instigateur de cette méthode et de ce comportement", dénonce Aliou Sow.
Il indique également que le leader du parti Rewmi veut se faire passer pour quelqu’un de brillantissime alors que son parcours est parsemé d’embûches. "En dehors du baccalauréat qu’il a eu à faire deux fois, quel est le Cv d’Idrissa Seck ? Il nous dira qu’il a été à Princeton ou en science Po. D’accord. Mais, il a eu là-bas quels diplômes ? Il a traité de quels sujets ? Avoir le verbe facile ne veut pas dire forcément compétant ou brillant", estime Aliou Sow, pour qui le leader de Rewmi "est l’un des moins expérimentés au Sénégal". "Il n’a jamais été député. Il n’a jamais été Dg, ni Pca. Et il n’a jamais dirigé de mouvement de jeunes ou des mouvements d'étudiants… Un Directeur de Cabinet pendant un an et demi et un Premier ministre qui terrorisait tout le monde. Qu’il fasse le tour du Sénégal, il ne pourra, à part Thiès, montrer une réalisation signée Idrissa Seck. Sa dernière trouvaille, c’est de jouer à la victime. Il a versé des larmes de crocodile sur une station (Rfm). Un candidat qui pleure à chaudes larmes sur la base de brouille devant les médias pour susciter la pitié, en oubliant toutes les victimes qu’il a eu à créer. Franchement, qu'il arrête".
Toujours d'après l’ancien ministre de la Décentralisation, Idrissa Seck a été "le premier au Sénégal à parler d'enregistrements de discussion, à l’insu de ses interlocuteurs". "Ne serait-ce que pour ça", indique-t-il, "on doit pas pouvoir lui faire confiance. C’est lui qui est l’instigateur du fait que, quand vous allez dans un bureau ministériel, on vous demande de laisser votre portable au Secrétariat, parce qu’on a peur que vous enregistriez le patron, à son insu. On ne connaissait pas ça. C’est Idrissa Seck l’instigateur de cette méthode et de ce comportement", dénonce Aliou Sow.
Il indique également que le leader du parti Rewmi veut se faire passer pour quelqu’un de brillantissime alors que son parcours est parsemé d’embûches. "En dehors du baccalauréat qu’il a eu à faire deux fois, quel est le Cv d’Idrissa Seck ? Il nous dira qu’il a été à Princeton ou en science Po. D’accord. Mais, il a eu là-bas quels diplômes ? Il a traité de quels sujets ? Avoir le verbe facile ne veut pas dire forcément compétant ou brillant", estime Aliou Sow, pour qui le leader de Rewmi "est l’un des moins expérimentés au Sénégal". "Il n’a jamais été député. Il n’a jamais été Dg, ni Pca. Et il n’a jamais dirigé de mouvement de jeunes ou des mouvements d'étudiants… Un Directeur de Cabinet pendant un an et demi et un Premier ministre qui terrorisait tout le monde. Qu’il fasse le tour du Sénégal, il ne pourra, à part Thiès, montrer une réalisation signée Idrissa Seck. Sa dernière trouvaille, c’est de jouer à la victime. Il a versé des larmes de crocodile sur une station (Rfm). Un candidat qui pleure à chaudes larmes sur la base de brouille devant les médias pour susciter la pitié, en oubliant toutes les victimes qu’il a eu à créer. Franchement, qu'il arrête".