Amadou Ba a ainsi pu constater que les travaux du pont initiés par le pouvoir sortant, sont à l’arrêt depuis l’avènement des nouvelles autorités. Sept mois, donc, que la construction de l’ouvrage qui enjambe la vaste étendue d’eau, séparant Nianga Eddy à la terre ferme, est interrompue. Pourtant, la réalisation de l’infrastructure est une vieille doléance des populations locales pour pouvoir joindre la route nationale, après l’érection d’une piste de près de 2 kilomètres, grâce au PUDC.
Nianga Eddy, un village historique du Fouta, arrosé par quatre fleuves, que sont le Dande Mayo, le Ngallenka, le Gayo et le Doué. Une situation qui la rend vulnérable face aux phénomènes naturels comme les inondations.
Avec les lâchées d’eaux du barrage de Manantaly, la localité s’est retrouvée couper du reste du continent. Même la mythique mosquée que le vénéré Cheikhou Oumar Tall y avait érigée, est engloutie, ceinturée aujourd’hui par les eaux débordantes du fleuve.
Une bonne raison pour Amadou Ba, chef de file de Jamm ak Njarin, d’appeler le pouvoir du Président Diomaye Faye, à prendre à bras le corps la question. Une priorité absolue et même vitale pour les habitants qui n’arrivent même plus à assurer le minimum. L’ancien Premier ministre invite également l’Etat et les autorités politiques à sortir de Dakar pour descendre sur le terrain afin de se rendre compte des difficultés auxquelles nos concitoyens, victimes de la crue font face.
Nianga Eddy, un village historique du Fouta, arrosé par quatre fleuves, que sont le Dande Mayo, le Ngallenka, le Gayo et le Doué. Une situation qui la rend vulnérable face aux phénomènes naturels comme les inondations.
Avec les lâchées d’eaux du barrage de Manantaly, la localité s’est retrouvée couper du reste du continent. Même la mythique mosquée que le vénéré Cheikhou Oumar Tall y avait érigée, est engloutie, ceinturée aujourd’hui par les eaux débordantes du fleuve.
Une bonne raison pour Amadou Ba, chef de file de Jamm ak Njarin, d’appeler le pouvoir du Président Diomaye Faye, à prendre à bras le corps la question. Une priorité absolue et même vitale pour les habitants qui n’arrivent même plus à assurer le minimum. L’ancien Premier ministre invite également l’Etat et les autorités politiques à sortir de Dakar pour descendre sur le terrain afin de se rendre compte des difficultés auxquelles nos concitoyens, victimes de la crue font face.