Le même chiffre figure dans le rapport de la commission des Lois, de la Décentralisation, du Travail et des Droits humains. «Monsieur le ministre a informé que pour faire la répartition des députés entre les différents départements, en dehors des cas évoqués, il est fait appel au quotient national qui est prévu par la loi électorale.
Ce quotient, a-t-il expliqué, s’obtient en principe de la division du nombre de sièges au niveau majoritaire intérieur (90) par la population totale (17 741 761). Ainsi, le résultat de cette opération permettra de relever un gap de 25 députés», lit-on dans le rapport.
Pour rappel, l’Assemblée nationale a voté le 15 avril dernier, une loi maintenant à 165 le nombre de députés, tout en augmentant le nombre de parlementaires appelés à être élus sur la liste majoritaire au détriment de la proportionnelle, suite à l’amendement introduit par la majorité parlementaire, Benno Bokk Yakaar (Bby), le justifiant par l’absence de consensus. En réponse, 17 députés de l’opposition ont déposé un recours pour l’annulation de la modification du Code électoral.
Bes Bi
Ce quotient, a-t-il expliqué, s’obtient en principe de la division du nombre de sièges au niveau majoritaire intérieur (90) par la population totale (17 741 761). Ainsi, le résultat de cette opération permettra de relever un gap de 25 députés», lit-on dans le rapport.
Pour rappel, l’Assemblée nationale a voté le 15 avril dernier, une loi maintenant à 165 le nombre de députés, tout en augmentant le nombre de parlementaires appelés à être élus sur la liste majoritaire au détriment de la proportionnelle, suite à l’amendement introduit par la majorité parlementaire, Benno Bokk Yakaar (Bby), le justifiant par l’absence de consensus. En réponse, 17 députés de l’opposition ont déposé un recours pour l’annulation de la modification du Code électoral.
Bes Bi