L’intérêt d’Arsenal pour Olivier Giroud n’incite pas les fans d’Arsenal à l’optimisme quant au dénouement du dossier Robin Van Persie. Pour qu’Arsène Wenger accepte de débourser plus de 10 M€, les raisons doivent être très bonnes. Et au regard du schéma de jeu adopté par Arsenal ces dernières saisons, on a pour l’instant du mal à imaginer une association Giroud-Van Persie. Le Néerlandais semble donc plus que jamais sur le départ, à un an de la fin de son contrat.
Ce week-end, la presse anglaise assurait même qu’Arsenal était prêt à négocier le transfert de son buteur providentiel à partir de 37 M€. Un encouragement à destination des courtisans annoncés (Manchester City, Juventus, PSG). C’est d’ailleurs en Italie que le cas Van Persie fait jaser. Puisque le père du joueur a annoncé qu’il ne resterait pas en Premier League en cas de départ, la Juve s’est vue pousser des ailes. Des ailes déjà coupées par Arsène Wenger.
« Il va rester à Arsenal. Je ne vois pas de raison à ce qu’un grand joueur, un grand champion, veuille rejoindre la Serie A, que ce soit en terme de prestige du championnat, de niveau de jeu ou même sur le plan financier », a-t-il lancé au quotidien italien La Repubblica. « S’il va en Italie, je vous achète un caramel », a même plaisanté l’entraîneur français des Gunners. Il a beau paraître sûr de lui, il n’est pas certain que les dirigeants suivent la même direction en cas d’offre satisfaisante. Le contexte autour de Van Persie est trop alléchant pour éviter quelques offensives sérieuses. Surtout, Wenger ne devrait pas fanfaronner après les épisodes Fabregas et Nasri, qui étaient eux aussi censés rester à Arsenal…
Aurélien Léger-Moëc
Ce week-end, la presse anglaise assurait même qu’Arsenal était prêt à négocier le transfert de son buteur providentiel à partir de 37 M€. Un encouragement à destination des courtisans annoncés (Manchester City, Juventus, PSG). C’est d’ailleurs en Italie que le cas Van Persie fait jaser. Puisque le père du joueur a annoncé qu’il ne resterait pas en Premier League en cas de départ, la Juve s’est vue pousser des ailes. Des ailes déjà coupées par Arsène Wenger.
« Il va rester à Arsenal. Je ne vois pas de raison à ce qu’un grand joueur, un grand champion, veuille rejoindre la Serie A, que ce soit en terme de prestige du championnat, de niveau de jeu ou même sur le plan financier », a-t-il lancé au quotidien italien La Repubblica. « S’il va en Italie, je vous achète un caramel », a même plaisanté l’entraîneur français des Gunners. Il a beau paraître sûr de lui, il n’est pas certain que les dirigeants suivent la même direction en cas d’offre satisfaisante. Le contexte autour de Van Persie est trop alléchant pour éviter quelques offensives sérieuses. Surtout, Wenger ne devrait pas fanfaronner après les épisodes Fabregas et Nasri, qui étaient eux aussi censés rester à Arsenal…
Aurélien Léger-Moëc