Au bout de douze heures (9h-21h) de procès, il a été condamné à 28 ans de prison. Ibrahima Amar est mort en héros. Le jour des faits, indisposé par les agissements de l’Espagnol, qui harcelait les autres clients du bar, selon le rappel de «Les Échos», il l’invite à se calmer.
Sans doute piqué dans son orgueil, le tueur quitte les lieux en promettant de revenir. « C’est ce qu’il fit deux heures plus tard, rembobine le journal. Le criminel est entré dans le bar et a tiré sur la victime à plusieurs reprises.
Une autre personne qui a tenté de l’arrêter, a été blessée par balles ». Ce drame avait provoqué des manifestations à Tapejara, souligne la même source.
Sans doute piqué dans son orgueil, le tueur quitte les lieux en promettant de revenir. « C’est ce qu’il fit deux heures plus tard, rembobine le journal. Le criminel est entré dans le bar et a tiré sur la victime à plusieurs reprises.
Une autre personne qui a tenté de l’arrêter, a été blessée par balles ». Ce drame avait provoqué des manifestations à Tapejara, souligne la même source.