Il y a moins d'un mois, c'est l'agence Ecobank de Yeumbeul qui a reçu la visite nocturne d'une dizaine de personnes armées jusqu'aux dents qui ont échangé des coups de feu avec des policiers, avant de s'emparer d'un coffre contenant 111 millions de francs CFA. Avant-hier, jeudi 16 février, le Sénégal a atteint un niveau jamais égalé de banditisme avec le braquage en plein jour de l'agence de transfert d'argent de Liberté 6, en plein coeur de la capitale sénégalaise.
A quelle force de sécurité se fier? Les populations et usagers des banques, stations d'essence, officines de pharmacie et autres lieux de dépôts d'argent sont en droit de se poser une telle question. au moment surtout; où lors des déplacements du chef de l'Etat sur le chemin de l'aéroport Léopold Sédar Senghor, on déploie policiers, gendarmes et autres militaires armés comme pour s'attaquer à"Boko Haram", prêts à vous abattre pour peu que vous approchiez du cortège.
Ce banditisme qui se développe serait-il la conséquence du chômage endémique des jeunes Sénégalais sans instruction aucune et par conséquent, sans perspectives? Ou alors l'oeuvre d'étrangers suspects et suréquipés, charriés par la libre circulation des personnes et des biens dans un espace CEDEAO où foisonnent les malfrats les plus incorrigibles? Qu'est-ce qui explique la vulnérabilité de la région de Dakar où les forfaits sont commis à longueur d'année sans que leurs auteurs ne soient anéantis?
Il urge en tout cas pour les autorités de prendre le problème à-bras-le corps afin de mettre fin à cette psychose de l'insécurité qui commence à hanter de paisibles citoyens qui n'ont que leurs yeux pour constater les dégâts.
source: direct info
A quelle force de sécurité se fier? Les populations et usagers des banques, stations d'essence, officines de pharmacie et autres lieux de dépôts d'argent sont en droit de se poser une telle question. au moment surtout; où lors des déplacements du chef de l'Etat sur le chemin de l'aéroport Léopold Sédar Senghor, on déploie policiers, gendarmes et autres militaires armés comme pour s'attaquer à"Boko Haram", prêts à vous abattre pour peu que vous approchiez du cortège.
Ce banditisme qui se développe serait-il la conséquence du chômage endémique des jeunes Sénégalais sans instruction aucune et par conséquent, sans perspectives? Ou alors l'oeuvre d'étrangers suspects et suréquipés, charriés par la libre circulation des personnes et des biens dans un espace CEDEAO où foisonnent les malfrats les plus incorrigibles? Qu'est-ce qui explique la vulnérabilité de la région de Dakar où les forfaits sont commis à longueur d'année sans que leurs auteurs ne soient anéantis?
Il urge en tout cas pour les autorités de prendre le problème à-bras-le corps afin de mettre fin à cette psychose de l'insécurité qui commence à hanter de paisibles citoyens qui n'ont que leurs yeux pour constater les dégâts.
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