“Je souffre. Si ce ne sont pas mes jambes qui enflent, ce sont mes seins. La nuit, je ne dors pas. Aidez-moi. Venez à mon secours. Je n’en peu plus. Je suis très alitée”. La dame, qui sollicite cet appui, se nomme Ami Ka. Âgée d’une quarantaine d’années, elle habite au quartier Ndayane de la commune de Diourbel.
Cette divorcée et orpheline souffre et n’a pas pu être admise au niveau des hôpitaux de Thiès et de Diourbel, faute de moyens financiers. Elle souffre de trois pathologies que sont le cancer, l’insuffisance rénale et le fibrome.
Amaigrie, le visage émacié, Ami Kâ ne dort plus la nuit, à cause de ses maux. Elle a perdu plus de 30 kilos. Cette dame rayonnante de vie, il y a à peine quatre années, passe ses journées sur son lit où elle effectue ses moindres besoins et reçoit ses rares visiteurs venus lui témoigner de leur affection et compatir à sa douleur.
En contant sa souffrance, Ami Ka confie : “ Je ne sais pas comment j’ai contracté ces maladies, mais ce que je peux dire, c’est que j’ai ressenti les premières douleurs, lorsque
j’avais amené mon fils malade consulter un tradipraticien. Le lendemain, j’avais toutes les peines du monde à me lever du lit. C’est après qu’on m’a amenée à l’hôpital et là, le médecin a diagnostiqué un cancer. Sur ces entrefaites, j’ai senti le monde s’écroulait. Ainsi débutait mon calvaire. Je me demandais comment venir à bout de cette maladie, alors que je souffrais déjà de fibrome, depuis quelques années “.
Dans sa maison, cette dame n’a comme seul et unique soutien que son jeune frère qui a des revenus modestes. En plus des trois pathologies dont elle souffre, elle supporte la démence de son unique fils que son ex-mari et père de l’enfant refuse de prendre en charge.
Promis à un bel avenir, cet étudiant est sujet, depuis quelques temps, à des troubles psychiques
EnQuete
Cette divorcée et orpheline souffre et n’a pas pu être admise au niveau des hôpitaux de Thiès et de Diourbel, faute de moyens financiers. Elle souffre de trois pathologies que sont le cancer, l’insuffisance rénale et le fibrome.
Amaigrie, le visage émacié, Ami Kâ ne dort plus la nuit, à cause de ses maux. Elle a perdu plus de 30 kilos. Cette dame rayonnante de vie, il y a à peine quatre années, passe ses journées sur son lit où elle effectue ses moindres besoins et reçoit ses rares visiteurs venus lui témoigner de leur affection et compatir à sa douleur.
En contant sa souffrance, Ami Ka confie : “ Je ne sais pas comment j’ai contracté ces maladies, mais ce que je peux dire, c’est que j’ai ressenti les premières douleurs, lorsque
j’avais amené mon fils malade consulter un tradipraticien. Le lendemain, j’avais toutes les peines du monde à me lever du lit. C’est après qu’on m’a amenée à l’hôpital et là, le médecin a diagnostiqué un cancer. Sur ces entrefaites, j’ai senti le monde s’écroulait. Ainsi débutait mon calvaire. Je me demandais comment venir à bout de cette maladie, alors que je souffrais déjà de fibrome, depuis quelques années “.
Dans sa maison, cette dame n’a comme seul et unique soutien que son jeune frère qui a des revenus modestes. En plus des trois pathologies dont elle souffre, elle supporte la démence de son unique fils que son ex-mari et père de l’enfant refuse de prendre en charge.
Promis à un bel avenir, cet étudiant est sujet, depuis quelques temps, à des troubles psychiques
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