Selon l’avocat «la commission d’instruction ne confisque pas de biens encore moins les biens d’une personne dont l’enquête le concernant est toujours en cours».
L’avocat a par ailleurs justifié ses déclarations par un exemple précis. «Je vous donne un exemple simple. Aujourd’hui vous voyez Karim Wade, Bibo Bourgi et même Tahibou Ndiaye comparaitre devant la Crei. Mais est-ce que les biens de ces personnes ont été saisis. Et pourtant ils sont tous en jugement tout le contraire de Abdoulaye Baldé dont l’enquête est en cours» a dit Me Demba Ciré Bathily.
Pour rappel un journal de la place a publié ce matin qu’une «ordonnance de saisie qui concerne tous les biens de l’ancien ministre y compris ceux de son épouse a été délivrée à Abdoulaye Baldé. Car, dans le réquisitoire introductif du procureur spécial, les 5 milliards francs Cfa englobent les biens de son épouse que la Crei soupçonne avoir été mal acquis».
A noter également que notre confrère a bien précisé que «la mesure de saisie conservatoire est une mesure habituelle ordonnée par le juge d’instruction pour sauvegarder les biens de la partie civile, en attendant de finir son instruction».
gfm.sn
L’avocat a par ailleurs justifié ses déclarations par un exemple précis. «Je vous donne un exemple simple. Aujourd’hui vous voyez Karim Wade, Bibo Bourgi et même Tahibou Ndiaye comparaitre devant la Crei. Mais est-ce que les biens de ces personnes ont été saisis. Et pourtant ils sont tous en jugement tout le contraire de Abdoulaye Baldé dont l’enquête est en cours» a dit Me Demba Ciré Bathily.
Pour rappel un journal de la place a publié ce matin qu’une «ordonnance de saisie qui concerne tous les biens de l’ancien ministre y compris ceux de son épouse a été délivrée à Abdoulaye Baldé. Car, dans le réquisitoire introductif du procureur spécial, les 5 milliards francs Cfa englobent les biens de son épouse que la Crei soupçonne avoir été mal acquis».
A noter également que notre confrère a bien précisé que «la mesure de saisie conservatoire est une mesure habituelle ordonnée par le juge d’instruction pour sauvegarder les biens de la partie civile, en attendant de finir son instruction».
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