Dès l’entame de l’audience, Madiambal Diagne a campé le décor en décrivant la situation économique de la presse qui n’est pas des meilleures. Ainsi, il a articulé son discours autour de six (6) points :
1. Situation fiscale et économique des entreprises de presse (dettes fiscales de certaines entreprises de presse publiques comme privées, fermeture de certains organes de presse),
2. Fonds d’aide à la presse (les allocations des exercices 2010 et 2011 qui ne sont que partiellement distribués),
3. Projet de fonds d’appui à la presse,
4. Subventions aux médias de service public (Demander que Rts, Soleil, Aps bénéficient des mêmes conditions budgétaires que les médias publics des pays de la sous-région),
5. Projet de nouveau code de la presse,
6. Club de la presse (Réitérer l’invitation adressée au Président de la République).
A ces doléances, le secrétaire général adjoint du Cdeps, Alassane Diallo ajoutera celle de la presse en ligne. A l’en croire : la presse est un pan important de la presse surtout en ces moments de morosité économique. Ainsi, estimant que la presse en ligne mérité d’être aidée pour qu’elle grandisse en s’abreuvant aux sources du professionnalisme et de la déontologie, il a demandé qu’elle bénéficie dune ligne de crédit au même titre que certains pas de la presse nationale.
Ce sont à toutes ces préoccupations du Cdeps que le Chef de l’Etat a répondu par des mesures heureuses au nombre de neuf (9) comme suit :
1. Les poursuites fiscales en cours sont suspendues,
2. Un projet de loi d’amnistie fiscale sera déposé à l’Assemblée nationale,
3. Les reliquats de l’aide à la presse pour les exercices 2012 et 2011 seront payés,
4. Le Président de la République va saisir le Parlement pour le vote du code de la presse,
5. La presse en ligne aura une ligne de crédit dans l’aide à la presse,
6. Les subventions aux médias publics (Rts, Le Soleil et Aps) seront augmentées,
7. Le secteur de la publicité sera organisé,
8. L’Etat va prendre des abonnements dans les journaux,
9. Le Président de la République encourage la mise en place d’un organe d’auto-régulation fort.
Au niveau du Cdeps, il y avait Madiambal Diagne, Yakham Mbaye, Cheikh Thiam, Mohamed Joseph Sarr, Alassane Diallo, Babacar Diagne, Abdoulaye Bamba Diallo et Vieux Aïdara. Du côté du Chef de l’Etat, outre le maître des Lieux, Me Abdoulaye Wade, il y avait le ministre d’Etat Habib Sy, les ministres Moustapha Guirassy, Pape Samba Mboup, Alioune Diop, Serigne Mbacké Ndiaye, Me Amadou Sall et Mamadou Diop Decroix. Mais aussi Pape Atoumane Diaw, Directeur de la Communication du Sénégal et Khadidja Bousso de la cellule de communication du Ministère de l’Economie et des finances.
Signalons aussi que le Président de la République a rejeté avec vigueur son invitation au Club de la presse du Cdeps, parce qu’il ne « veut pas se faire insulter par des journalistes parfois qui n’ont même pas le Bfem ».
Pour dissiper sa colère et ses craintes, Abdoulaye Bamba Diallo lui a dit la composition, le format et la périodicité de ces grands moments de communication animés par des journalistes rompus à la tâche et où le respect et la considération sont de mise.
Bamba Diallo a été appuyé dans sa thèse par Madiambal Diagne.
Répondant à une autre interpellation du Chef de l’Etat sur l’importance d’une autorité d’auto-régulation pour la presse, le Secrétaire général du Cdeps, par ailleurs Président du Cored, notre confrère Cheikh Thiam a rappelé la mission de sa structure qui est un vigie de la déontologie et de l’éthique dans la pratique du métier de journaliste dans notre pays.
Une photo de famille a mis fin à la rencontre.
1. Situation fiscale et économique des entreprises de presse (dettes fiscales de certaines entreprises de presse publiques comme privées, fermeture de certains organes de presse),
2. Fonds d’aide à la presse (les allocations des exercices 2010 et 2011 qui ne sont que partiellement distribués),
3. Projet de fonds d’appui à la presse,
4. Subventions aux médias de service public (Demander que Rts, Soleil, Aps bénéficient des mêmes conditions budgétaires que les médias publics des pays de la sous-région),
5. Projet de nouveau code de la presse,
6. Club de la presse (Réitérer l’invitation adressée au Président de la République).
A ces doléances, le secrétaire général adjoint du Cdeps, Alassane Diallo ajoutera celle de la presse en ligne. A l’en croire : la presse est un pan important de la presse surtout en ces moments de morosité économique. Ainsi, estimant que la presse en ligne mérité d’être aidée pour qu’elle grandisse en s’abreuvant aux sources du professionnalisme et de la déontologie, il a demandé qu’elle bénéficie dune ligne de crédit au même titre que certains pas de la presse nationale.
Ce sont à toutes ces préoccupations du Cdeps que le Chef de l’Etat a répondu par des mesures heureuses au nombre de neuf (9) comme suit :
1. Les poursuites fiscales en cours sont suspendues,
2. Un projet de loi d’amnistie fiscale sera déposé à l’Assemblée nationale,
3. Les reliquats de l’aide à la presse pour les exercices 2012 et 2011 seront payés,
4. Le Président de la République va saisir le Parlement pour le vote du code de la presse,
5. La presse en ligne aura une ligne de crédit dans l’aide à la presse,
6. Les subventions aux médias publics (Rts, Le Soleil et Aps) seront augmentées,
7. Le secteur de la publicité sera organisé,
8. L’Etat va prendre des abonnements dans les journaux,
9. Le Président de la République encourage la mise en place d’un organe d’auto-régulation fort.
Au niveau du Cdeps, il y avait Madiambal Diagne, Yakham Mbaye, Cheikh Thiam, Mohamed Joseph Sarr, Alassane Diallo, Babacar Diagne, Abdoulaye Bamba Diallo et Vieux Aïdara. Du côté du Chef de l’Etat, outre le maître des Lieux, Me Abdoulaye Wade, il y avait le ministre d’Etat Habib Sy, les ministres Moustapha Guirassy, Pape Samba Mboup, Alioune Diop, Serigne Mbacké Ndiaye, Me Amadou Sall et Mamadou Diop Decroix. Mais aussi Pape Atoumane Diaw, Directeur de la Communication du Sénégal et Khadidja Bousso de la cellule de communication du Ministère de l’Economie et des finances.
Signalons aussi que le Président de la République a rejeté avec vigueur son invitation au Club de la presse du Cdeps, parce qu’il ne « veut pas se faire insulter par des journalistes parfois qui n’ont même pas le Bfem ».
Pour dissiper sa colère et ses craintes, Abdoulaye Bamba Diallo lui a dit la composition, le format et la périodicité de ces grands moments de communication animés par des journalistes rompus à la tâche et où le respect et la considération sont de mise.
Bamba Diallo a été appuyé dans sa thèse par Madiambal Diagne.
Répondant à une autre interpellation du Chef de l’Etat sur l’importance d’une autorité d’auto-régulation pour la presse, le Secrétaire général du Cdeps, par ailleurs Président du Cored, notre confrère Cheikh Thiam a rappelé la mission de sa structure qui est un vigie de la déontologie et de l’éthique dans la pratique du métier de journaliste dans notre pays.
Une photo de famille a mis fin à la rencontre.