Les membres de cette instance dirigeante du Jëf-jël, estime que c’est le lieu de réaffirmer la nécessité, après avoir supprimé le Sénat, de s’orienter vers la mise en œuvre rapide des réformes institutionnelles, d’œuvrer davantage à la prise de mesures visant à assainir les finances publiques, à accélérer les procédures de rapatriement des fonds détournés et à réduire considérablement le train de vie de l’Etat.
Mais se démarquent-ils, « pour s’attaquer à ces défis, l’on ne saurait concevoir l’augmentation de la taille du gouvernement ».
Abordant la situation qui prévaut à l’école sénégalaise, le Bureau politique invite les partenaires à plus de réalisme et à faire les concessions nécessaires afin d’éviter de nouvelles perturbations. Cela, après avoir constaté que la situation que traverse le système éducatif au Sénégal demeure plus que jamais préoccupante.
« L’année scolaire commence avec une rentrée des classes qui n’est pas effective pour diverses raisons : elle coïncide avec la période des examens, certaines écoles sont englouties par les eaux, d’autres sont toujours occupées par des victimes des inondations. Il s’y ajoute la persistance des désaccords entre le gouvernement et les syndicats d’enseignants. Ainsi la crise dans le secteur de l’éducation et de la formation n’a-t-elle pas connu son épilogue malgré les engagements pris par les acteurs au lendemain de l’alternance politique », fait remarquer le Bureau politique du Jëf-jël.
Par ailleurs, cette formation politique dit être favorable à la tenue des Assises sur l’Education et la Formation qui, de manière inclusive, devront permettre aux acteurs de fixer définitivement les exigences et les conditions pour garantir la stabilité et la performance du système éducatif.
Ferloo
Mais se démarquent-ils, « pour s’attaquer à ces défis, l’on ne saurait concevoir l’augmentation de la taille du gouvernement ».
Abordant la situation qui prévaut à l’école sénégalaise, le Bureau politique invite les partenaires à plus de réalisme et à faire les concessions nécessaires afin d’éviter de nouvelles perturbations. Cela, après avoir constaté que la situation que traverse le système éducatif au Sénégal demeure plus que jamais préoccupante.
« L’année scolaire commence avec une rentrée des classes qui n’est pas effective pour diverses raisons : elle coïncide avec la période des examens, certaines écoles sont englouties par les eaux, d’autres sont toujours occupées par des victimes des inondations. Il s’y ajoute la persistance des désaccords entre le gouvernement et les syndicats d’enseignants. Ainsi la crise dans le secteur de l’éducation et de la formation n’a-t-elle pas connu son épilogue malgré les engagements pris par les acteurs au lendemain de l’alternance politique », fait remarquer le Bureau politique du Jëf-jël.
Par ailleurs, cette formation politique dit être favorable à la tenue des Assises sur l’Education et la Formation qui, de manière inclusive, devront permettre aux acteurs de fixer définitivement les exigences et les conditions pour garantir la stabilité et la performance du système éducatif.
Ferloo