« Aujourd’hui couvrir une élection présidentielle n’est pas chose aisée. C’est lié aux difficultés inhérentes à ce genre d’activités. C’est lié aussi au nombre de candidats. Nous sommes dans un contexte très particulier. Certains candidats jouent leur va-tout ; parce que vous savez, il est pratiquement possible que nous allions vers un changement de génération d’hommes politiques. »
« On va vers une candidature plurielle. On parle de vingt candidats au plus et s’il faut donner à chaque candidat un véhicule, une caméra, le suivre de Dakar à Fongolémi, retourner, monter et faire visionner les images par le Cnra, ce sera un réel problème. Nous avons un schéma de travail très lourd. »
« On va vers une candidature plurielle. On parle de vingt candidats au plus et s’il faut donner à chaque candidat un véhicule, une caméra, le suivre de Dakar à Fongolémi, retourner, monter et faire visionner les images par le Cnra, ce sera un réel problème. Nous avons un schéma de travail très lourd. »