Une baisse du prix du riz pour soulager les consommateurs
La mesure phare concerne le riz brisé ordinaire, une denrée largement consommée par les Sénégalais. Le gouvernement a acté une réduction de 60 FCfa par kilogramme sur les variétés importées d’Inde, du Vietnam, de Thaïlande et du Myanmar. Cette décision fait suite à une baisse des cours mondiaux du riz, qui ont enregistré une diminution de 30 % depuis octobre 2024.
Selon le ministre du Commerce et des Industries, Serigne Guèye Diop, cette réduction tarifaire résulte d’une concertation approfondie avec les importateurs, les grossistes, les détaillants et les associations de consommateurs, afin de garantir une application effective sur l’ensemble du territoire.
Renforcement des mesures de contrôle pour une application effective
Pour assurer le respect de ces nouveaux tarifs, le gouvernement a mis en place plusieurs mécanismes de surveillance :
- Mobilisation de 1 000 volontaires pour appuyer les agents du contrôle économique.
- Création de 11 nouveaux services d’enquêtes économiques, répartis dans les 46 départements du pays.
- Sanctions contre les pratiques frauduleuses, afin d’éviter la spéculation sur les prix.
Vers une baisse prochaine des prix de l’huile et du sucre
En plus du riz, l’État suit de près l’évolution des prix de l’huile de palme et du sucre. Face aux fluctuations des cours mondiaux, des concertations sont en cours pour définir un prix plafonné de l’huile, afin de stabiliser son coût sur le marché local.
Concernant le sucre, les tendances internationales indiquent une baisse progressive des prix. Le gouvernement prévoit donc une réduction prochaine des tarifs sur le marché national, en accord avec les acteurs du secteur.
Un engagement pour le pouvoir d’achat et la souveraineté alimentaire
Avec ces mesures, le gouvernement réaffirme son engagement en faveur de la protection du pouvoir d’achat des citoyens et de la lutte contre l’inflation alimentaire. Cette politique s’inscrit dans une dynamique plus large, visant à renforcer la souveraineté alimentaire du Sénégal et à favoriser une production locale plus compétitive.
La baisse des prix du riz, de l’huile et du sucre constitue une avancée significative pour les consommateurs sénégalais. Toutefois, le défi réside dans l’application effective de ces mesures et la lutte contre la spéculation. Le gouvernement assure un suivi rigoureux, pour garantir que cette baisse profite réellement à la population.
Que pensez-vous de ces mesures ? Sont-elles suffisantes pour améliorer le pouvoir d’achat des ménages ? Partagez votre avis en commentaire !
La mesure phare concerne le riz brisé ordinaire, une denrée largement consommée par les Sénégalais. Le gouvernement a acté une réduction de 60 FCfa par kilogramme sur les variétés importées d’Inde, du Vietnam, de Thaïlande et du Myanmar. Cette décision fait suite à une baisse des cours mondiaux du riz, qui ont enregistré une diminution de 30 % depuis octobre 2024.
Selon le ministre du Commerce et des Industries, Serigne Guèye Diop, cette réduction tarifaire résulte d’une concertation approfondie avec les importateurs, les grossistes, les détaillants et les associations de consommateurs, afin de garantir une application effective sur l’ensemble du territoire.
Renforcement des mesures de contrôle pour une application effective
Pour assurer le respect de ces nouveaux tarifs, le gouvernement a mis en place plusieurs mécanismes de surveillance :
- Mobilisation de 1 000 volontaires pour appuyer les agents du contrôle économique.
- Création de 11 nouveaux services d’enquêtes économiques, répartis dans les 46 départements du pays.
- Sanctions contre les pratiques frauduleuses, afin d’éviter la spéculation sur les prix.
Vers une baisse prochaine des prix de l’huile et du sucre
En plus du riz, l’État suit de près l’évolution des prix de l’huile de palme et du sucre. Face aux fluctuations des cours mondiaux, des concertations sont en cours pour définir un prix plafonné de l’huile, afin de stabiliser son coût sur le marché local.
Concernant le sucre, les tendances internationales indiquent une baisse progressive des prix. Le gouvernement prévoit donc une réduction prochaine des tarifs sur le marché national, en accord avec les acteurs du secteur.
Un engagement pour le pouvoir d’achat et la souveraineté alimentaire
Avec ces mesures, le gouvernement réaffirme son engagement en faveur de la protection du pouvoir d’achat des citoyens et de la lutte contre l’inflation alimentaire. Cette politique s’inscrit dans une dynamique plus large, visant à renforcer la souveraineté alimentaire du Sénégal et à favoriser une production locale plus compétitive.
La baisse des prix du riz, de l’huile et du sucre constitue une avancée significative pour les consommateurs sénégalais. Toutefois, le défi réside dans l’application effective de ces mesures et la lutte contre la spéculation. Le gouvernement assure un suivi rigoureux, pour garantir que cette baisse profite réellement à la population.
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