Il n’a pas encore déclaré son ambition encore moins l’objet de ses tournées, mais Bougane Guèye Dani gagne du terrain et fait peur comme pas possible au régime. Et son mouvement «Gueum Sa Bopp» encore plus.
Hier, alors qu’il était tranquillement et le plus normalement du monde en train de faire des visites de proximité à Benn Tally, c’est le commissaire himself qui a arrêté sa procession. Pour ne pas créer d’esclandre, il quitte Benn Tally pour Niary Tally.
Alors qu’il recevait dans une maison, de braves femmes et des jeunes qui ont adhéré à la philosophie qu’il prône, le « Gueum Sa Bopp», c’est encore le même commissaire des Hlm qui se distingue en voulant balancer des grenades lacrymogènes dans la foule.
Une attitude que personne ne comprend. Et ce n’est pas la première fois qu’il est pris à partie et interdit de manifestation. Dernièrement, les préfets de Grand-Dakar et de Bambilor ont refusé d’autoriser les conférences que son mouvement «Gueum Sa Bopp» voulait organiser.
Mais, le patron de D Média ne compte pas pour autant baisser les bras. Au contraire. Il a décidé d’aller jusqu’au bout et d’implanter dans tous les coins et recoins du pays, la philosophie du «Gueum Sa Bopp».
Les Echos
Hier, alors qu’il était tranquillement et le plus normalement du monde en train de faire des visites de proximité à Benn Tally, c’est le commissaire himself qui a arrêté sa procession. Pour ne pas créer d’esclandre, il quitte Benn Tally pour Niary Tally.
Alors qu’il recevait dans une maison, de braves femmes et des jeunes qui ont adhéré à la philosophie qu’il prône, le « Gueum Sa Bopp», c’est encore le même commissaire des Hlm qui se distingue en voulant balancer des grenades lacrymogènes dans la foule.
Une attitude que personne ne comprend. Et ce n’est pas la première fois qu’il est pris à partie et interdit de manifestation. Dernièrement, les préfets de Grand-Dakar et de Bambilor ont refusé d’autoriser les conférences que son mouvement «Gueum Sa Bopp» voulait organiser.
Mais, le patron de D Média ne compte pas pour autant baisser les bras. Au contraire. Il a décidé d’aller jusqu’au bout et d’implanter dans tous les coins et recoins du pays, la philosophie du «Gueum Sa Bopp».
Les Echos