
"La mise en place de l’ensemble des organes du CESE, qui constitue un cadrage, va nous permettre de travailler dans la plénitude totale et entière de nos missions’’, a-t-elle dit au terme de la cérémonie.
Le bureau du CESE comprend six vice-présidents en sus de la présidente de l’institution nommée par décret et six secrétaires élus.
L’institution s’est aussi dotée de 10 commissions qui vont travailler sur des thématiques liées au développement du pays, dans les domaines économique, social, culturel et environnemental.
C’est de façon volontaire que les conseillers ont choisi, par suggestion ou en fonction des compétences qui leur sont reconnues, les commissions dont ils sont membres. Ils vont devoir identifier des questions sur lesquelles devra travailler le CESE.
Selon la présidente de l’institution, Aminata Tall, des personnalités ayant des compétences et de l’expérience ont été identifiées et nommées à des postes de présidents, de vice-présidents et de rapporteurs.
’’Cela est donc le point de départ et la garantie sine qua none d’un travail qui repose sur des piliers […]’’, a-t-elle souligné.
Elle a par ailleurs assuré que ces commissions se chargeront d’identifier les difficultés des populations afin de pouvoir les porter auprès du président de la République ou de son gouvernement ou encore de l’Assemblée nationale, lorsqu’il s’agit de prendre des dispositions législatives ou réglementaires.
Aminata Tall a annoncé que la deuxième session du CESE est prévue au mois de septembre prochain. ‘’Les textes prévoient deux sessions au moins et quatre au plus dont deux ordinaires et deux extraordinaires en cas de besoin’’, a-t-elle expliqué.
"La deuxième, nous la projetons pour le mois de septembre afin de nous donner le temps de former les conseiller aux techniques de travail que requièrent la formulation des avis aussi sérieusement attendus aussi bien de l’exécutif, du Parlement que des populations’’, a-t-elle annoncé.
APS
Le bureau du CESE comprend six vice-présidents en sus de la présidente de l’institution nommée par décret et six secrétaires élus.
L’institution s’est aussi dotée de 10 commissions qui vont travailler sur des thématiques liées au développement du pays, dans les domaines économique, social, culturel et environnemental.
C’est de façon volontaire que les conseillers ont choisi, par suggestion ou en fonction des compétences qui leur sont reconnues, les commissions dont ils sont membres. Ils vont devoir identifier des questions sur lesquelles devra travailler le CESE.
Selon la présidente de l’institution, Aminata Tall, des personnalités ayant des compétences et de l’expérience ont été identifiées et nommées à des postes de présidents, de vice-présidents et de rapporteurs.
’’Cela est donc le point de départ et la garantie sine qua none d’un travail qui repose sur des piliers […]’’, a-t-elle souligné.
Elle a par ailleurs assuré que ces commissions se chargeront d’identifier les difficultés des populations afin de pouvoir les porter auprès du président de la République ou de son gouvernement ou encore de l’Assemblée nationale, lorsqu’il s’agit de prendre des dispositions législatives ou réglementaires.
Aminata Tall a annoncé que la deuxième session du CESE est prévue au mois de septembre prochain. ‘’Les textes prévoient deux sessions au moins et quatre au plus dont deux ordinaires et deux extraordinaires en cas de besoin’’, a-t-elle expliqué.
"La deuxième, nous la projetons pour le mois de septembre afin de nous donner le temps de former les conseiller aux techniques de travail que requièrent la formulation des avis aussi sérieusement attendus aussi bien de l’exécutif, du Parlement que des populations’’, a-t-elle annoncé.
APS