Ainsi, relativement à l’organisation et au fonctionnement, il a été noté le caractère lacunaire des textes constitutifs du cadre juridique, relève l’Ige qui souligne que «la direction du Fesman n’a pas correctement exercé ses fonctions managériales et, à cet égard, n’a élaboré ni manuel de procédures ni document de planification de son action. De plus, elle n’a exercé aucun contrôle sur les actes posés par son personnel, se contentant de signer des conventions, sans s’assurer du respect des procédures prévues. Le recrutement et la rémunération de ce personnel ont occasionné de nombreuses violations de la loi».
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