" Le Président de la République m’a appelée pour me dire qu’il souhaitait une jeunesse unie, une jeunesse surtout travailleuse. Et je pense que mon action politique ne pouvait pas s’inscrire en dehors de la volonté du Chef de l’Etat.
Tout ceci, pour vous dire encore que je ne boxe pas dans la même catégorie que Bara Gaye. Lui, il vient d’arriver dans le PDS ; moi, j’ai plus de dix ans d’engagement et d’expérience politique. Aujourd’hui, si je dois avoir une position par rapport à l’UJTL, c’est de les encadrer, de les orienter, de donner des conseils dans le cadre des activités qui sont à mener. Je ne suis pas dans une position de rivalité parce que je me verrai très mal en train de rivaliser avec quelqu’un de qui je ne peux rien tirer. Il est à la tête de l’UJTL.
Pourtant, il y a beaucoup de jeunes qui sont, avec lui, dans le Bureau exécutif national, mais qui viennent me voir pour des orientations et des conseils. Quand même, j’ai eu la chance d’avoir un vécu qu’eux, ils n’ont pas.
Et puis, encore une fois, le moment n’est pas au tiraillement et autres querelles. Nous sommes à quatre mois des élections. Et après la présidentielle, il y aura une nouvelle configuration. Je pense que nous devons ranger la hache de guerre et nous concentrer sur l’essentiel : massifier le parti, essayer de récupérer des jeunes frustrés en partance vers REMWI ou l’APR. Notre devoir est de les récupérer, de les conscientiser parce que ce sont des jeunes du PDS."
Tout ceci, pour vous dire encore que je ne boxe pas dans la même catégorie que Bara Gaye. Lui, il vient d’arriver dans le PDS ; moi, j’ai plus de dix ans d’engagement et d’expérience politique. Aujourd’hui, si je dois avoir une position par rapport à l’UJTL, c’est de les encadrer, de les orienter, de donner des conseils dans le cadre des activités qui sont à mener. Je ne suis pas dans une position de rivalité parce que je me verrai très mal en train de rivaliser avec quelqu’un de qui je ne peux rien tirer. Il est à la tête de l’UJTL.
Pourtant, il y a beaucoup de jeunes qui sont, avec lui, dans le Bureau exécutif national, mais qui viennent me voir pour des orientations et des conseils. Quand même, j’ai eu la chance d’avoir un vécu qu’eux, ils n’ont pas.
Et puis, encore une fois, le moment n’est pas au tiraillement et autres querelles. Nous sommes à quatre mois des élections. Et après la présidentielle, il y aura une nouvelle configuration. Je pense que nous devons ranger la hache de guerre et nous concentrer sur l’essentiel : massifier le parti, essayer de récupérer des jeunes frustrés en partance vers REMWI ou l’APR. Notre devoir est de les récupérer, de les conscientiser parce que ce sont des jeunes du PDS."