leral.net | S'informer en temps réel

CRISE ENERGETIQUE : La Clesopi propose ses « clés » pour sortir du « creux de la vague »

LERAL.NET - Les coupures d’électricité en font voir des vertes et des pas mûres aux sénégalais. Qui investissent les rues pour manifester leur couroux. Malgré cette situation précaire que le Sénégal dans son unité vit de plein fouet, les autorités étatiques ont opté pour le mutisme. Silence duquel s’extirpe la Convergence des cadres Libéraux pour l’Enracinement du Sopi (CLESOPI) pour dans un premier temps faire l’état des lieux de la crise énergétique et dans un second, proposer des solutions pour voir le bout du tunnel. C’est lors d’un point de presse tenu ce jeudi la salle de conférence de la Société d’investissement et de restructuration navale (Sirn) que Samba Ndiaye et ses amis de la mouvance présidentielle ont fait face à la presse.


Rédigé par leral.net le Jeudi 20 Janvier 2011 à 21:52 | | 3 commentaire(s)|

CRISE ENERGETIQUE : La Clesopi propose ses « clés » pour sortir du « creux de la vague »
« Dans le creux de la vague »


D’emblée, la Clesopi sous la direction du maire de Ndoffane admet que « le sous-secteur de l’électricité est dans le creux de la vague ». Et Directeur général de la Société d’investissement et de restructuration navale (Sirn) en veut pour preuves « la vétusté des installations de production, le retard des investissements, le coût élevé du combustible et enfin les orientations stratégiques inadaptées dans les investissements ». La Clesopi qui est d’avis qu’ « industriels, artisans, citoyen tout court ne veulent plus des discours », propose des solutions pour atténuer voire mettre un terme à la souffrance des sénégalais.

Certes la Clesopi salue les efforts du Président Wade qui a injecté 800 milliards dans le secteur de l’énergie, mais croit savoir que « c’est un problème d’orientation stratégiques » auquel la Senelec est confronté. Pour Samba Ndiaye, président de la commission Energie, Hydraulique, Equipements, Infrastructures et Transports au Conseil régional de Kaolack, on a beau cherché des milliards, les problèmes persisteront. Et ce, pour deux simples raisons : le coût instable du combustible et le choix inapproprié des types de production.

Le bout du tunnel en juillet 2011

Comme alternative, les cadres libéraux réunis au sein de la Clesopi proposent à l’Etat de « s’orienter vers la vulgarisation des kits solaires pour pérenniser le développement économique et social de notre pays ». Sachant que « l’Afrique détient 51 % du potentiel solaire mondial », la Clesopi a l’intime conviction que seuls les kits solaires pourront rendre le sourire aux sénégalais. D’autant plus qu’« un kit solaire de 250 Wc, selon ce membre fondateur de la Coordination nationale des cadres libéraux (Cncl) et ses frères de parti, présente les avantages » qu’ils ne tarderont pas à souligner à savoir la durée de vie qui peut aller de « 20 à 25 ans. » Le kit solaire peut, selon toujours les cadres libéraux, alimenter 8 points lumineux (lampes, ndlr), un réfrigérateur, un téléviseur etc. Sans compter le coût qui avoisine le million 500 mille à 2 millions de francs Cfa. Mais ils ont vite fait de préciser que le kit solaire peut être coupé avec le système classique de la Senelec.

A en croire les cadres libéraux, pour que cela se réalise, il suffit juste de mettre en place un cadre juridique adéquat. Il faut aussi « réorienter les réformes de la Senelec pour la création de pôles énergétiques », souligne la Clesopi. Après vient le ciblage qui veut que « les abonnés petites puissances » soient privilégiées. C’est la seule politique qui peut mettre hors délestage les sénégalais. Mais ils devront prendre leur mal en patience car le programme d’activités ne verra son effectivité qu’en juillet 2011 car il faut d’abord mettre en place un environnement juridique (mars 2011), démarrer le projet dans les zones où la température est élevée (mai, juin 2011) et enfin « dérouler le projet » dans son intégralité (juillet, août, septembre 2011).

Ceci en attendant que les centrales solaires soient installées pour régler définitivement le problème de l’électricité au Sénégal. Un exposé qui parait aux yeux des quelques militants libéraux la bonne. A l’Etat le dernier mot et aux sénégalais d’être indulgents.

Par Abdou K. Cissé

Par la rédaction de leral.net Avec abdou khadir cissé


1.Posté par AMA DIOLA le 20/01/2011 23:12 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Ce mame samba ndiaye est un pure voleur il fait parti d ceux qui ont pillé la senelec en gerant les approvisionnements .c est un couzin de souleyman ndene .il n parle meme pa francais

2.Posté par LERGUI le 20/01/2011 23:18 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

QUEL MAL AU SENEGAL (( KENN DOUWAX,)) CHAQUE SENEGALAIS EST INDEXE.

3.Posté par pacificateur le 21/01/2011 23:10 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

AMA DIOLA arrête de mentir tu es animé par une mauvaise foi
on dirait que tu as une haine envers Mr NDIAYE

Nouveau commentaire :

Tout commentaire à caractère commercial, insultant, pornographique, raciste, homophobe, incitant à la violence ou contraire aux lois sénégalaises sera supprimé, Peut entraîner votre bannissement total du site