"On reçoit des messages, on voit des images de la joie des gens qui font la fête, qui crient, dansent, chantent, pleurent, c’est magnifique. Cela donne une autre dimension à nos performances, on a conscience de faire de belles choses. Les 400 Béninois qui sont avec nous ici, font du bruit pendant 90 minutes, voire 120.
Contre les "Lions", on va jouer sans pression. On est loin d’être favoris alors qu’ils sont de sérieux prétendants au titre. Notre seule obligation, c’est de tout donner et de garder la tête haute à la fin. Ça reste du foot, tout est ouvert. Ils ont une grosse armada offensive, ces gars jouent dans de grands clubs. C’était aussi le cas du Maroc, ça ne nous a pas empêchés de les éliminer. Leur qualité intrinsèque est supérieure, mais on a quelques arguments. Qu’est-ce qu’on à perdre ? On est en quarts de finale de la CAN, c’est déjà un truc de dingue", précise Emmanuel Imorou.
Contre les "Lions", on va jouer sans pression. On est loin d’être favoris alors qu’ils sont de sérieux prétendants au titre. Notre seule obligation, c’est de tout donner et de garder la tête haute à la fin. Ça reste du foot, tout est ouvert. Ils ont une grosse armada offensive, ces gars jouent dans de grands clubs. C’était aussi le cas du Maroc, ça ne nous a pas empêchés de les éliminer. Leur qualité intrinsèque est supérieure, mais on a quelques arguments. Qu’est-ce qu’on à perdre ? On est en quarts de finale de la CAN, c’est déjà un truc de dingue", précise Emmanuel Imorou.