Le politologue tocard qu’il est doit savoir qu’Idrissa a fait une proposition politique intermédiaire pour préserver la stabilité du pays. Stabilité sans laquelle aucun développement durable n’est à envisager. Son manque d’honnêteté intellectuelle l’amène à torpiller la vérité. Des constitutionnalistes avérés ont certes démontré que la candidature de WADE est irrecevable, mais d’autres de la même trempe ont démontré le contraire avec autant de clarté. Des hommes de droit dont le premier Ministre Souleymane Ndene NDIAYE ou l’ex Ministre Me Ousmane SEYE ou l’éminent constitutionnaliste Serigne DIOP ont défendu la recevabilité de cette candidature avec des arguments juridiques à la clef. Qu’en est-il réellement dans le fond ? Voilà la simple question que se pose Idrissa SECK . Et pour en connaître davantage un débat nationale avec tous les acteurs autour d’une table n’est il pas le mieux indiqué pour clore définitivement le débat ? Le juge constitutionnelle étant souverain son jugement peut bien être différent de ce qui est dit ça et là, alors qu’un débat avec tous les acteurs concernés scellerait définitivement le sort de cette candidature.
A défaut de ce débat le conseil constitutionnel peut soit valider la candidature de WADE ou l’invalider. Dans la première hypothèse, l’opposition qui conteste la neutralité du juge DIAKHATE refuserait certainement ce choix et dans la seconde WADE peut torpiller la loi dans le but de se maintenir. Les conséquences pourraient, dans l’un comme dans l’autre des deux cas, s’avérer dangereux pour la stabilité du Sénégal d’où la proposition politique intermédiaire de Idrissa qui le limite à une simple proposition. Mais, l’insolence de ce tocard qui n’a d’égal que son ignorance ne lui permet point de cerner ces éventualités et préserver le pays d’un chaos certain.
Encore une autre maladresse de sa part quand il évoque les assises nationales et la non participation de Idy à cette chose. Qu’avait-elle de nationale au-delà du nom ? Elle n’avait regroupé que l’opposition et les affairistes que l’ancien régime avait façonnés. La non participation de Idy à cette chose jugée nationale par ses organisateurs ne signifie nullement que ce dernier avait tourné le dos au débat national. Au contraire c’était dans une parfaite logique qu’Idy avait refusé l’invitation de Benno. Mais, le mensonge sert parfois de tremplin aux faibles d’esprit de son acabit. Pour assouvir leur vil dessein à savoir nuire un homme qui empêche à ses pourvoyeurs de fonds de tourner en rond, certaines personnes sont prêtes à tout. Mais, le mensonge n’a jamais remporté ses duels avec la vérité. En témoigne l’acharnement du pouvoir sur SECK qui a abouti à un non lieu sur tous les chefs d’accusation à son encontre et ceci malgré le déploiement de tous les moyens dont disposait l’Etat pour retarder l’ambition qu’avait Idrissa pour le SENEGAL.
Déjà en 2006, Idrissa SECK défendait, dans sa lettre adressée à la Nation, que le Senegal était notre bien commun pour lequel nous ne devrions ménager aucun effort pour sauvegarder sa stabilité, sa prospérité et sa tranquillité afin que chacun d’entre nous puisse accéder à l’avoir, au pouvoir et au savoir. Mais, sa subjectivité et son aigreur ne lui permettent pas de reconnaître cette constance dans la lutte pour la préservation de la cohésion nationale dont fait preuve Idrissa depuis toujours.
Le vrai salaud est celui qui en donne une quintessence politique et se définit être un expert dans la détection des salauds politiques. Idrissa SECK ne descendra jamais aussi bas avec d’aussi vils propos, puisque c’est un homme politique respectable, respecté, responsable et qui nourrit beaucoup de respect à l’égard ses compatriotes. Abdou Aziz DIOP peut lui élire domicile dans les égouts, mais personne ne l’y rejoindra. C’est cette solitude dans les ordures aux odeurs nauséabondes qui justifient son existence de cafards et le ronge jusqu’à la moelle. Qu’il meure de haine. Idrissa SECK continuera malgré tout à servir le Senegal et de se battre pour ce bien commun.
Sankar
sankraa@yahoo.fr
A défaut de ce débat le conseil constitutionnel peut soit valider la candidature de WADE ou l’invalider. Dans la première hypothèse, l’opposition qui conteste la neutralité du juge DIAKHATE refuserait certainement ce choix et dans la seconde WADE peut torpiller la loi dans le but de se maintenir. Les conséquences pourraient, dans l’un comme dans l’autre des deux cas, s’avérer dangereux pour la stabilité du Sénégal d’où la proposition politique intermédiaire de Idrissa qui le limite à une simple proposition. Mais, l’insolence de ce tocard qui n’a d’égal que son ignorance ne lui permet point de cerner ces éventualités et préserver le pays d’un chaos certain.
Encore une autre maladresse de sa part quand il évoque les assises nationales et la non participation de Idy à cette chose. Qu’avait-elle de nationale au-delà du nom ? Elle n’avait regroupé que l’opposition et les affairistes que l’ancien régime avait façonnés. La non participation de Idy à cette chose jugée nationale par ses organisateurs ne signifie nullement que ce dernier avait tourné le dos au débat national. Au contraire c’était dans une parfaite logique qu’Idy avait refusé l’invitation de Benno. Mais, le mensonge sert parfois de tremplin aux faibles d’esprit de son acabit. Pour assouvir leur vil dessein à savoir nuire un homme qui empêche à ses pourvoyeurs de fonds de tourner en rond, certaines personnes sont prêtes à tout. Mais, le mensonge n’a jamais remporté ses duels avec la vérité. En témoigne l’acharnement du pouvoir sur SECK qui a abouti à un non lieu sur tous les chefs d’accusation à son encontre et ceci malgré le déploiement de tous les moyens dont disposait l’Etat pour retarder l’ambition qu’avait Idrissa pour le SENEGAL.
Déjà en 2006, Idrissa SECK défendait, dans sa lettre adressée à la Nation, que le Senegal était notre bien commun pour lequel nous ne devrions ménager aucun effort pour sauvegarder sa stabilité, sa prospérité et sa tranquillité afin que chacun d’entre nous puisse accéder à l’avoir, au pouvoir et au savoir. Mais, sa subjectivité et son aigreur ne lui permettent pas de reconnaître cette constance dans la lutte pour la préservation de la cohésion nationale dont fait preuve Idrissa depuis toujours.
Le vrai salaud est celui qui en donne une quintessence politique et se définit être un expert dans la détection des salauds politiques. Idrissa SECK ne descendra jamais aussi bas avec d’aussi vils propos, puisque c’est un homme politique respectable, respecté, responsable et qui nourrit beaucoup de respect à l’égard ses compatriotes. Abdou Aziz DIOP peut lui élire domicile dans les égouts, mais personne ne l’y rejoindra. C’est cette solitude dans les ordures aux odeurs nauséabondes qui justifient son existence de cafards et le ronge jusqu’à la moelle. Qu’il meure de haine. Idrissa SECK continuera malgré tout à servir le Senegal et de se battre pour ce bien commun.
Sankar
sankraa@yahoo.fr