Le coordonnateur des non-alignés commence d’abord par l’actualité relative à la candidature de Me Wade en 2012. Et c’est pour affirmer que : « Wade ne peut et ne doit plus se représenter pour une troisième fois, pour au moins trois raisons : une raison constitutionnelle : Wade le sait car lui-même a affirmé à la presse "Je ne peux pas me représenter, parce que la Constitution me l'interdit", une raison morale : Wade a fait une promesse : « j'ai bloqué le nombre de mandats à deux. Donc, je ne peux me représenter", une raison sanitaire.
La Coalition des partis non alignés depuis janvier 2010, avait déjà déclaré lors d’une conférence de presse, que Wade ne pouvait plus se présenter ».
Mais, Wade a l’intention de se présenter, croît Hamidou Diallo et cela passera par «
Wade va dissoudre l'assemblée, faire des élections législatives anticipées, modifier la constitution pour reconnaître les conclusions des assises en adoptant un régime parlementaire, faire élire son fils premier ministre à pouvoir divin, nommer un vice président pour terminer son mandat et rentrer chez lui en France. 2012 le trouvera au chaud en France, pour le repos du guerrier et non pas ici au Sénégal où l'attendent toute l'opposition, la société civile et la communauté internationale ».
« Pour réussir son coup, il a un ministre de la justice, aux ordres. Un ministre de l’intérieur, militant convaincu et en dernière estocade, un président du Conseil constitutionnel symbole de la domestication d’une certaine frange de la justice sénégalaise », conclut le communiqué.
NDiaga Diouf
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La Coalition des partis non alignés depuis janvier 2010, avait déjà déclaré lors d’une conférence de presse, que Wade ne pouvait plus se présenter ».
Mais, Wade a l’intention de se présenter, croît Hamidou Diallo et cela passera par «
Wade va dissoudre l'assemblée, faire des élections législatives anticipées, modifier la constitution pour reconnaître les conclusions des assises en adoptant un régime parlementaire, faire élire son fils premier ministre à pouvoir divin, nommer un vice président pour terminer son mandat et rentrer chez lui en France. 2012 le trouvera au chaud en France, pour le repos du guerrier et non pas ici au Sénégal où l'attendent toute l'opposition, la société civile et la communauté internationale ».
« Pour réussir son coup, il a un ministre de la justice, aux ordres. Un ministre de l’intérieur, militant convaincu et en dernière estocade, un président du Conseil constitutionnel symbole de la domestication d’une certaine frange de la justice sénégalaise », conclut le communiqué.
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