
L’ancien ministre de la Justice est formel, son fils est victime d’acharnement. Il soutient qu’aucun mandat d’arrêt n’est lancé dans l’affaire dite des commissions de Sudatel. Contrairement aux « allégations » du ministre de la justice, Kéba Keindé ne fait pas l’objet d’un mandat d’arrêt international.
D’après La Tribune, l’ancien ministre s’est même amusé à visiter le site d’Interpol, mais selon lui aucun sénégalais du nom de Kéba Keindé n’est recherché. Cheikh Tidiane Sy s’offusque du fait que Tos est le seul à avoir été inquiété pour des raisons politiques. Selon lui, si « Kéba Keindé était entendu, toute l’accusation dont Tos fait l’objet s’effondrerait ». En outre M. Sy s’étonne du fait que, « ni l’Etat, ni Kéba Keindé, ni Sudatel, n’ont été entendu ». C’est pourquoi le responsable libéral réitère que cette affaire n’est que le fruit d’un acharnement, dans la mesure où l’Etat sénégalais n’a subi aucun préjudice dans le paiement de la licence Sudatel.
Il précise qu’il ne cherche pas à accabler Kébé Keindé, qu’il a connu comme ami d’enfance de Tos, et qu’il considère comme son fils. «Tos ! Ce dossier qui n’a pas de motif judiciaire, n’est purement que politique. Je suis son père et j’envisage très sérieusement de saisir la plus haute autorité américaine : le président Barack Obama »
D’après La Tribune, l’ancien ministre s’est même amusé à visiter le site d’Interpol, mais selon lui aucun sénégalais du nom de Kéba Keindé n’est recherché. Cheikh Tidiane Sy s’offusque du fait que Tos est le seul à avoir été inquiété pour des raisons politiques. Selon lui, si « Kéba Keindé était entendu, toute l’accusation dont Tos fait l’objet s’effondrerait ». En outre M. Sy s’étonne du fait que, « ni l’Etat, ni Kéba Keindé, ni Sudatel, n’ont été entendu ». C’est pourquoi le responsable libéral réitère que cette affaire n’est que le fruit d’un acharnement, dans la mesure où l’Etat sénégalais n’a subi aucun préjudice dans le paiement de la licence Sudatel.
Il précise qu’il ne cherche pas à accabler Kébé Keindé, qu’il a connu comme ami d’enfance de Tos, et qu’il considère comme son fils. «Tos ! Ce dossier qui n’a pas de motif judiciaire, n’est purement que politique. Je suis son père et j’envisage très sérieusement de saisir la plus haute autorité américaine : le président Barack Obama »