Il est tout d’abord déplorable que dans notre cher Sénégal, il y ait un lobby de personnes appelé communicateurs traditionnels se proclamant comme des stabilisateurs du pays et qui paradoxalement ne font que le déstabiliser en valorisant des contre-valeurs en contrepartie de quelques billets de banques. Comment est-ce qu’on peut faire comprendre au jeune sénégalais,à qui on inculque dès le bas âge les valeurs de Diom, de Ngor, de Kerssa, que Cheikh Yérim Seck est un exemple, une référence, un vrai et grand musulman, un homme digne d’une moralité exemplaire…… Vous conviendrez avec moi que tel n’est pas le cas.
Certaines personnes penseront, à tort, que j’ai une dent envers Yérim ou que je suis en train de le juger ; loin s’en faut. Je ne l’ai vu qu’une seule fois de ma vie alors qu’il animait une brillante conférence à la faculté de droit de l’UCAD. Je sais qu’il est un journaliste compétent et un initiateur de projet pertinent. En plus je ne saurai m’arroger le droit de juger quelqu’un à la place d’Allah le tout puissant.
Toutefois, nous sommes dans un pays qui nous appartient tous, et aucun sénégalais ne doit, quelle que soit la raison, accepter que des contrevaleurs soient promues en référence. Comment peut-on ériger en exemple un homme qui s’est mis devant la télé dire qu’il a deux épouses, qu’elles satisfassent entièrement ses vœux et que quelques semaines après ilreconnait avoir eu une relation charnelle avec une demoiselle dans un hôtel de la place avec la précision qu’il ne l’a pas violé parce que son consentement résultait de l’approbation par la fille du port de préservatif.
Dans ces faits nous avons tous les éléments caractéristiques d’une contre-valeur : le non-respect de sa parole, le mensonge, l’infidélité, la trahison, l’adultère commis par un homme marié…….
Au sortir de sa détention, parce que bénéficiant d’une liberté conditionnelle, le sieur Seck, au lieu de demander pardon à tout le peuple sénégalais et s’afférer à la repentance religieuse de ses actes, semble être dans la posture d’une victime et avec la complicité de certains énergumènes se croit être une référence. Ce qui n’est pas le cas dans la mesure où le fait une référence, une icône ou un exemple ne proclame pas, il se mérite. De par son comportement après les faits qu’il a reconnus avoir commis, il est évident que Cheikh Yérim Seck fait incontestablement parti de ces goulots qui étranglent le Sénégal.
Ababacar Sy Diagne
Etudiant en Master 2 de Droit Privé
Droit des affaires à l’UCAD
Email : diagneaba@gmail.com
Certaines personnes penseront, à tort, que j’ai une dent envers Yérim ou que je suis en train de le juger ; loin s’en faut. Je ne l’ai vu qu’une seule fois de ma vie alors qu’il animait une brillante conférence à la faculté de droit de l’UCAD. Je sais qu’il est un journaliste compétent et un initiateur de projet pertinent. En plus je ne saurai m’arroger le droit de juger quelqu’un à la place d’Allah le tout puissant.
Toutefois, nous sommes dans un pays qui nous appartient tous, et aucun sénégalais ne doit, quelle que soit la raison, accepter que des contrevaleurs soient promues en référence. Comment peut-on ériger en exemple un homme qui s’est mis devant la télé dire qu’il a deux épouses, qu’elles satisfassent entièrement ses vœux et que quelques semaines après ilreconnait avoir eu une relation charnelle avec une demoiselle dans un hôtel de la place avec la précision qu’il ne l’a pas violé parce que son consentement résultait de l’approbation par la fille du port de préservatif.
Dans ces faits nous avons tous les éléments caractéristiques d’une contre-valeur : le non-respect de sa parole, le mensonge, l’infidélité, la trahison, l’adultère commis par un homme marié…….
Au sortir de sa détention, parce que bénéficiant d’une liberté conditionnelle, le sieur Seck, au lieu de demander pardon à tout le peuple sénégalais et s’afférer à la repentance religieuse de ses actes, semble être dans la posture d’une victime et avec la complicité de certains énergumènes se croit être une référence. Ce qui n’est pas le cas dans la mesure où le fait une référence, une icône ou un exemple ne proclame pas, il se mérite. De par son comportement après les faits qu’il a reconnus avoir commis, il est évident que Cheikh Yérim Seck fait incontestablement parti de ces goulots qui étranglent le Sénégal.
Ababacar Sy Diagne
Etudiant en Master 2 de Droit Privé
Droit des affaires à l’UCAD
Email : diagneaba@gmail.com