Dès son plus jeune âge, Fatou Ndiaye Badji baigne dans l’action militante. Originaire de Ziguinchor, elle s’intéresse à la politique à travers le Parti socialiste, fréquentant les jeunes socialistes de sa région, dès l’âge de 15 ans. Cependant, sa passion pour le service national la mène vers un autre chemin : elle intègre la première promotion de femmes gendarmes en 2006.
Cette carrière militaire, aussi gratifiante qu’exigeante, l’oblige à mettre temporairement de côté, son engagement politique. Elle démissionne de la gendarmerie en 2011, pour reprendre ses études en France, renouant ainsi avec le militantisme au sein de la diaspora sénégalaise.
Après une pause en 2020, marquée par des désaccords avec l’évolution de son parti d’origine, Fatou Ndiaye Badji est convaincue par Ameth Diallo et sa coalition « Gox Yu Bees », qui prône un Sénégal inclusif et égalitaire. « Ameth Diallo propose des solutions concrètes pour l’égalité hommes-femmes, pour la scolarisation des filles et pour un accès équitable à la technologie et aux nouvelles compétences », souligne-t-elle.
L’accès à l’éducation, à la technologie et à des formations dans les domaines scientifiques et techniques pour les jeunes filles, est une priorité pour elle, les considérant comme un levier de transformation sociale.
Son engagement féministe, notamment pour le respect des droits des femmes, est au cœur de son projet politique. Elle considère l’Assemblée nationale comme un lieu de plaidoyer où elle pourra mener à bien plusieurs luttes, dont celle pour l’accès des femmes à la terre. « Les femmes, qui participent activement au travail agricole, sont souvent exclues de la propriété foncière, un droit qu’elles méritent tout autant que les hommes », explique-t-elle.
Fatou Ndiaye Badji souhaite lever les obstacles qui limitent les femmes, tant en matière d’héritage que d’acquisition de terres. « C’est une question de justice : il est crucial de mettre fin aux discriminations qui empêchent les femmes de devenir entrepreneures agricoles».
Ses ambitions pour l’Assemblée nationale vont au-delà de l’égalité foncière. Elle prône une valorisation économique et sociale des activités domestiques, souvent invisibles, des femmes. Elle insiste sur le fait qu’une société ne peut être équilibrée sans une reconnaissance des rôles des femmes dans l’éducation, la gestion et le bien-être des familles.
À travers ses engagements, elle espère apporter un changement durable vers un Sénégal où toutes les femmes, qu’elles soient rurales ou urbaines, auront les mêmes droits et opportunités. Aujourd’hui, plus que jamais, elle est déterminée à incarner ce combat pour l’égalité et le progrès.
Cette carrière militaire, aussi gratifiante qu’exigeante, l’oblige à mettre temporairement de côté, son engagement politique. Elle démissionne de la gendarmerie en 2011, pour reprendre ses études en France, renouant ainsi avec le militantisme au sein de la diaspora sénégalaise.
Après une pause en 2020, marquée par des désaccords avec l’évolution de son parti d’origine, Fatou Ndiaye Badji est convaincue par Ameth Diallo et sa coalition « Gox Yu Bees », qui prône un Sénégal inclusif et égalitaire. « Ameth Diallo propose des solutions concrètes pour l’égalité hommes-femmes, pour la scolarisation des filles et pour un accès équitable à la technologie et aux nouvelles compétences », souligne-t-elle.
L’accès à l’éducation, à la technologie et à des formations dans les domaines scientifiques et techniques pour les jeunes filles, est une priorité pour elle, les considérant comme un levier de transformation sociale.
Son engagement féministe, notamment pour le respect des droits des femmes, est au cœur de son projet politique. Elle considère l’Assemblée nationale comme un lieu de plaidoyer où elle pourra mener à bien plusieurs luttes, dont celle pour l’accès des femmes à la terre. « Les femmes, qui participent activement au travail agricole, sont souvent exclues de la propriété foncière, un droit qu’elles méritent tout autant que les hommes », explique-t-elle.
Fatou Ndiaye Badji souhaite lever les obstacles qui limitent les femmes, tant en matière d’héritage que d’acquisition de terres. « C’est une question de justice : il est crucial de mettre fin aux discriminations qui empêchent les femmes de devenir entrepreneures agricoles».
Ses ambitions pour l’Assemblée nationale vont au-delà de l’égalité foncière. Elle prône une valorisation économique et sociale des activités domestiques, souvent invisibles, des femmes. Elle insiste sur le fait qu’une société ne peut être équilibrée sans une reconnaissance des rôles des femmes dans l’éducation, la gestion et le bien-être des familles.
À travers ses engagements, elle espère apporter un changement durable vers un Sénégal où toutes les femmes, qu’elles soient rurales ou urbaines, auront les mêmes droits et opportunités. Aujourd’hui, plus que jamais, elle est déterminée à incarner ce combat pour l’égalité et le progrès.