On dit souvent que le premier chantier pour un nouvel entraîneur qui débarque, c’est de bâtir la colonne vertébrale de son équipe. Une démarche somme toute logique, si l’on sait qu’un coach maîtrise bien son groupe quand il arrive à identifier ses hommes de base : du gardien de but à l’avant-centre, en passant par l’axe central et le milieu de terrain. Et à cet exercice, l’entraîneur intérimaire des Lions, Joseph Koto peut nourrir quelques espoirs à la lumière de ses deux premiers matchs depuis qu’il est à la tête des Lions.
Mais ce qui est encore plus réconfortant, c’est la présence à ce niveau de certains olympiques qui, en peu de temps, commencent à faire leur trou au sein de ces différents secteurs névralgiques du jeu. D’abord il y a le jeune gardien Ousmane Mané. Déjà brillant avec les Olympiques sur la route de Londres 2012, le pensionnaire de Diambars a vite fait de gagner la confiance du nouveau coach, en s’offrant deux bonnes prestations contre le Maroc (1-0), en amical à Marrakech, et face au Liberia (3-1). Et justement pour ce match de samedi, comptant pour la première journée des éliminatoires du Mondial 2014, Ousmane Mané a encore sorti un gros match par ses interventions décisives. D’où les éloges appuyés de l’ancien gardien international, Cheikh Seck : «Il a fait un grand match et il a fait un grand bond», a déclaré à l’Aps le vice-président de la Fédé foot, qui dans la même foulée a loué les qualités mentales du jeune (22 ans) portier des Lions : «C’est vrai qu’il aurait pu douter après avoir pris un but d’entrée, mais ça n’a pas été le cas et ça, c’est une très bonne chose. Prendre un but dès l’entame du match et faire le match qu’il a ensuite fait, ce n’est pas évident et c’est là où cela devient intéressant.»
Quid de Idrissa Gana Guèye ? En fait, le Lillois ne fait que confirmer ce que bon nombre d’observateurs pensent de lui. Et dont certains d’ailleurs n’avaient pas compris qu’il soit zappé de la liste des joueurs sélectionnés pour la Can 2012. Très présent à la récupération, et alliant vivacité et agressivité, Gana Guèye (22 ans) incarne cette «révolution jeune» qui est en train de gagner la Tanière. Et symbolisée par un certain Sadio Mané (20 ans) qui a fini de gagner le cœur des puristes (voir notre édition d’hier).
Avec une telle brochette de jeunes talents, assaisonnée à la sauce de quelques cadres, comme Mohamed Diamé et Papiss Cissé, Joseph Koto peut pour le moment se tenir debout, car ayant une colonne vertébrale assez solide. Reste à confirmer tous ces acquis à terre ougandaise. Ce qui est une autre paire de manches…
SOURCE:lequotidien.sn
Mais ce qui est encore plus réconfortant, c’est la présence à ce niveau de certains olympiques qui, en peu de temps, commencent à faire leur trou au sein de ces différents secteurs névralgiques du jeu. D’abord il y a le jeune gardien Ousmane Mané. Déjà brillant avec les Olympiques sur la route de Londres 2012, le pensionnaire de Diambars a vite fait de gagner la confiance du nouveau coach, en s’offrant deux bonnes prestations contre le Maroc (1-0), en amical à Marrakech, et face au Liberia (3-1). Et justement pour ce match de samedi, comptant pour la première journée des éliminatoires du Mondial 2014, Ousmane Mané a encore sorti un gros match par ses interventions décisives. D’où les éloges appuyés de l’ancien gardien international, Cheikh Seck : «Il a fait un grand match et il a fait un grand bond», a déclaré à l’Aps le vice-président de la Fédé foot, qui dans la même foulée a loué les qualités mentales du jeune (22 ans) portier des Lions : «C’est vrai qu’il aurait pu douter après avoir pris un but d’entrée, mais ça n’a pas été le cas et ça, c’est une très bonne chose. Prendre un but dès l’entame du match et faire le match qu’il a ensuite fait, ce n’est pas évident et c’est là où cela devient intéressant.»
Quid de Idrissa Gana Guèye ? En fait, le Lillois ne fait que confirmer ce que bon nombre d’observateurs pensent de lui. Et dont certains d’ailleurs n’avaient pas compris qu’il soit zappé de la liste des joueurs sélectionnés pour la Can 2012. Très présent à la récupération, et alliant vivacité et agressivité, Gana Guèye (22 ans) incarne cette «révolution jeune» qui est en train de gagner la Tanière. Et symbolisée par un certain Sadio Mané (20 ans) qui a fini de gagner le cœur des puristes (voir notre édition d’hier).
Avec une telle brochette de jeunes talents, assaisonnée à la sauce de quelques cadres, comme Mohamed Diamé et Papiss Cissé, Joseph Koto peut pour le moment se tenir debout, car ayant une colonne vertébrale assez solide. Reste à confirmer tous ces acquis à terre ougandaise. Ce qui est une autre paire de manches…
SOURCE:lequotidien.sn