« Les denrées deviennent de plus en plus chères. (...) Je me demande comment on tiendra le coup ? », s’interroge cette femme ivoirienne. Elle est aussi victime de la suspension provisoire des activités des banques internationales en Côte d’Ivoire. « Mon mari avait un compte dans l’une de ses banques et on ne sait plus où trouver de l’argent pour continuer à assurer les dépenses », clame la ménagère ivoirienne. Elle affirme aussi que leurs enfants sont à la porte de l’école parce qu’ils n’ont pas de liquidités pour payer les frais de scolarité. Elle a souligné aussi qu’ils seront bientôt privés d’électricité, d’eau et de téléphone faute de paiement.
Les jours difficiles vécus présentement par la population ivoirienne ne sont que la faute des politiques. Des politiques plus soucieux de leurs intérêts personnels que ceux de la grande majorité des Ivoiriens. Cette crise politique avec son lot de conséquences économiques et sociales ne peut pas durer plus longtemps parce que seulement ce sont deux hommes qui empêchent à des millions d’Ivoiriens de vivre paisiblement.
Thiedo
Les jours difficiles vécus présentement par la population ivoirienne ne sont que la faute des politiques. Des politiques plus soucieux de leurs intérêts personnels que ceux de la grande majorité des Ivoiriens. Cette crise politique avec son lot de conséquences économiques et sociales ne peut pas durer plus longtemps parce que seulement ce sont deux hommes qui empêchent à des millions d’Ivoiriens de vivre paisiblement.
Thiedo