Le sucre chinois n'est en réalité rien d'autre qu'un édulcorant destiné à la fabrication des produits industriels mais sa consommation peut nuire à la santé. Depuis quelques années, le "sucre chinois", prisé par les vendeurs pour son caractère bon marché a envahi le marché.
En effet, quelques grammes seulement peuvent suffire pour sucrer des litres. Mais vu que son goût laisse à désirer, les vendeurs ont trouvé la parade. Ils le mélangent avec du sucre naturel pour en atténuer l'ardeur et dissiper les soupçons du consommateur. et le tour est joué.
Un vendeur de café Touba rencontré aux Parcelles Assainies témoigne, " j'ai utilisé ce sucre une fois. Un ami me l'avait conseillé en me disant qu'on pouvait l'utiliser sans qu'il change le goût du café, en plus il est très économique. Après, j'ai constaté que cela altère carrément le goût, donc, j'ai arrêté", déclare-t-il.
Quand il s'agit de communiquer sur le sujet, certains commerçants optent pour le silence ou feignent d'ignorer l'existence d'un tel sucre. C'est le cas de ce commerçant du nom de Cheikh trouvé au marché Grand-Yoff devant une boutique. Lorsque la question lui a été posée, à savoir s'il connaissait ce sucre, il a répondu par la négative. "je ne sais pas où est-ce qu'on peut l'avoir" évacue-t-il. Mais il se contredira un peu plus loin, sans s'en rendre compte. " Il est plus facile de le trouver à Sandaga qu'à Grand-Yoff", dira-t-il. Le café qu'il vend dégage le goût d'un sirop. ce qui discrédite ses allégations.
Au marché Dior, un autre vendeur, Mbaye Dior, d'un air timide et réticent, indique discrètement le magasin du grossiste qui en vend, " Je ne dispose pas de ce sucre, allez demander ailleurs", répondra le grossiste.
Pour Aminata Samb Sène, une jeune ménagère, ce sucre n'est pas seulement utilisé uniquement que par les vendeurs de jus. " J'ai découvert ce sucre en 2002 lors de mes premières vacances à Louga. On l'utilisait pour faire des jus de bissap. Avec une cuillerée à soupe, on peut sucrer des litres. Un an après, je l'ai vu à Dakar", révèle-t-elle.
source: walfquotidien
En effet, quelques grammes seulement peuvent suffire pour sucrer des litres. Mais vu que son goût laisse à désirer, les vendeurs ont trouvé la parade. Ils le mélangent avec du sucre naturel pour en atténuer l'ardeur et dissiper les soupçons du consommateur. et le tour est joué.
Un vendeur de café Touba rencontré aux Parcelles Assainies témoigne, " j'ai utilisé ce sucre une fois. Un ami me l'avait conseillé en me disant qu'on pouvait l'utiliser sans qu'il change le goût du café, en plus il est très économique. Après, j'ai constaté que cela altère carrément le goût, donc, j'ai arrêté", déclare-t-il.
Quand il s'agit de communiquer sur le sujet, certains commerçants optent pour le silence ou feignent d'ignorer l'existence d'un tel sucre. C'est le cas de ce commerçant du nom de Cheikh trouvé au marché Grand-Yoff devant une boutique. Lorsque la question lui a été posée, à savoir s'il connaissait ce sucre, il a répondu par la négative. "je ne sais pas où est-ce qu'on peut l'avoir" évacue-t-il. Mais il se contredira un peu plus loin, sans s'en rendre compte. " Il est plus facile de le trouver à Sandaga qu'à Grand-Yoff", dira-t-il. Le café qu'il vend dégage le goût d'un sirop. ce qui discrédite ses allégations.
Au marché Dior, un autre vendeur, Mbaye Dior, d'un air timide et réticent, indique discrètement le magasin du grossiste qui en vend, " Je ne dispose pas de ce sucre, allez demander ailleurs", répondra le grossiste.
Pour Aminata Samb Sène, une jeune ménagère, ce sucre n'est pas seulement utilisé uniquement que par les vendeurs de jus. " J'ai découvert ce sucre en 2002 lors de mes premières vacances à Louga. On l'utilisait pour faire des jus de bissap. Avec une cuillerée à soupe, on peut sucrer des litres. Un an après, je l'ai vu à Dakar", révèle-t-elle.
source: walfquotidien
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