Si les apéristes de Dahra Djolof préfèrent la mort plutôt que de laisser passer ce qu’ils qualifient de forfaiture en vue, ils ont décidé d’effectuer, en début de semaine prochaine, une sortie publique. Une manière pour eux de déclarer à qui veut les entendre que ni Macky Sall, ni Mimy Touré, encore moins le responsable départemental Apr de Linguère, en l’occurrence Aly Ngouille Ndiaye, ne sauraient leur choisir le candidat qui devrait diriger la liste de la Coalition «Benno Bokk Yakaar», lors des prochaines élections locales.
Selon les rebelles, s’il est habité par le dur désir de diriger une Collectivité locale, Me Amadou Kâ ferait mieux d’aller à Thiargny, son village d’origine et de Djibo Leyt Kâ, son ex-mentor de l’Union pour le renouveau démocratique. Tout comme, si Samba Ndiobène Kâ n’a qu’à aller à Boulal, village situé à vingt kilomètres de la Commune de Dahra Djolof, et où dont son père Kelly Kâ, ancien responsable de l’Urd puis du Pds, est le président de la Communauté rurale.
Pour convaincre les plus sceptiques sur le fait qu’ils sont d’être des enfants de chœur, des responsables de l’Alliance pour la République n’écartent pas de créer des listes parallèles lors du scrutin du 29 juin 2014. Ils se veulent clairs, nets et précis : «la Commune de Dahra compte suffisamment de cadres locaux capables de présider à ses destinées. Par conséquent, personne, nous disons bien personne, ne viendra de l’extérieur, pour nous diriger. Cela est valable aussi bien pour Me Amadou Kâ que pour un autre. Et que ce soit Macky Sall, Aly Ngouille Ndiaye ou on ne sait qui encore ne vont décider à la place des Dahrois», souffle un proche des apéristes dissidents qui vont animer, dans les heures à venir, une conférence de presse. Alors, le sommet de l’Apr est averti.
Actusen.com
Selon les rebelles, s’il est habité par le dur désir de diriger une Collectivité locale, Me Amadou Kâ ferait mieux d’aller à Thiargny, son village d’origine et de Djibo Leyt Kâ, son ex-mentor de l’Union pour le renouveau démocratique. Tout comme, si Samba Ndiobène Kâ n’a qu’à aller à Boulal, village situé à vingt kilomètres de la Commune de Dahra Djolof, et où dont son père Kelly Kâ, ancien responsable de l’Urd puis du Pds, est le président de la Communauté rurale.
Pour convaincre les plus sceptiques sur le fait qu’ils sont d’être des enfants de chœur, des responsables de l’Alliance pour la République n’écartent pas de créer des listes parallèles lors du scrutin du 29 juin 2014. Ils se veulent clairs, nets et précis : «la Commune de Dahra compte suffisamment de cadres locaux capables de présider à ses destinées. Par conséquent, personne, nous disons bien personne, ne viendra de l’extérieur, pour nous diriger. Cela est valable aussi bien pour Me Amadou Kâ que pour un autre. Et que ce soit Macky Sall, Aly Ngouille Ndiaye ou on ne sait qui encore ne vont décider à la place des Dahrois», souffle un proche des apéristes dissidents qui vont animer, dans les heures à venir, une conférence de presse. Alors, le sommet de l’Apr est averti.
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