Les résultats du 2e sommet Inde-Afrique d’Addis-Abeba sont pour le moins largement positifs pour le Sénégal. Le géant asiatique a décidé de dégager ce financement de 76 milliards CFA pour la poursuite du programme de mécanisation agricole déjà en cours notamment dans la vallée du fleuve Sénégal et en Casamance, les deux pôles de développement intensif de la riziculture.
Selon le PDG de TSE, Cheikh Amar qui a pris part à la rencontre entre Me Wade et le PM indien, l’Inde va donc apporter son savoir-faire et ses fonds pour davantage doter notre pays de tracteurs et autres motopompes.
Il s’agit, en réalité, poursuit l’operateur économique, de coller à la vision du Président de la République qui disait lors de l’ouverture du 2e sommet Afrique –Inde: «Il s’agit pour le continent et l’Inde de mettre leurs potentialités au service de notre partenariat en dépassant par une implication accrue de notre secteur privé, le cadre de la coopération officielle, certes nécessaire mais limitée ». Une assertion qui se vérifie d’autant que l’Inde met beaucoup l’accent sur l’initiative privée, comme moteur du développement.
Le Sénégal s’inspire donc de cette puissance asiatique membre éminent des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du sud) le cercle restreint des pays émergents.
En effet, avec 1 milliard 200 millions d’habitants, l’Inde produit aujourd’hui près de 120 millions de tonnes de riz. Pour sa part, le Sénégal a juste besoin annuellement d’un million 100 mille tonnes de riz pour assurer sa sécurité alimentaire.
Avec ce deuxième programme de mécanisation agricole, ce challenge est largement à la portée des agriculteurs de la vallée du fleuve Sénégal et de la Casamance pour faire de notre pays, non pas un importateur, mais un exportateur net de cette denrée très prisée par nos compatriotes
le soleil
Selon le PDG de TSE, Cheikh Amar qui a pris part à la rencontre entre Me Wade et le PM indien, l’Inde va donc apporter son savoir-faire et ses fonds pour davantage doter notre pays de tracteurs et autres motopompes.
Il s’agit, en réalité, poursuit l’operateur économique, de coller à la vision du Président de la République qui disait lors de l’ouverture du 2e sommet Afrique –Inde: «Il s’agit pour le continent et l’Inde de mettre leurs potentialités au service de notre partenariat en dépassant par une implication accrue de notre secteur privé, le cadre de la coopération officielle, certes nécessaire mais limitée ». Une assertion qui se vérifie d’autant que l’Inde met beaucoup l’accent sur l’initiative privée, comme moteur du développement.
Le Sénégal s’inspire donc de cette puissance asiatique membre éminent des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du sud) le cercle restreint des pays émergents.
En effet, avec 1 milliard 200 millions d’habitants, l’Inde produit aujourd’hui près de 120 millions de tonnes de riz. Pour sa part, le Sénégal a juste besoin annuellement d’un million 100 mille tonnes de riz pour assurer sa sécurité alimentaire.
Avec ce deuxième programme de mécanisation agricole, ce challenge est largement à la portée des agriculteurs de la vallée du fleuve Sénégal et de la Casamance pour faire de notre pays, non pas un importateur, mais un exportateur net de cette denrée très prisée par nos compatriotes
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