En effet, nos confrères de l’AFP écrivent que Paris prévoit de réduire à quelques centaines d’hommes, sa présence militaire en Afrique de l’Ouest et centrale, dans le cadre de partenariats « rénovés » et plus discrets, annoncés par le président Emmanuel Macron, après de cuisantes déconvenues au Sahel.
L’AFP a appris de trois sources concordantes, que le dans le cadre du plan envisagé par l’exécutif, actuellement discuté avec les partenaires africains, la France prévoit d’abaisser drastiquement ses forces dites « prépositionnées » sur des emprises militaires.
Elle ne gardera en principe qu’une centaine de militaires au Gabon (contre 350 aujourd’hui), une centaine au Sénégal (contre 350), une centaine en Côte d’Ivoire (600 aujourd’hui) et environ, 300 au Tchad (1 000 actuellement), d’après deux sources proches de l’exécutif et une source militaire.
Sous réserve d’un changement de cap, alors que la France connaîtra sous peu des élections législatives anticipées à l’issue incertaine pour le camp présidentiel, le dispositif devrait ainsi compter à l’avenir, aux alentours de 600 militaires.
L’AFP a appris de trois sources concordantes, que le dans le cadre du plan envisagé par l’exécutif, actuellement discuté avec les partenaires africains, la France prévoit d’abaisser drastiquement ses forces dites « prépositionnées » sur des emprises militaires.
Elle ne gardera en principe qu’une centaine de militaires au Gabon (contre 350 aujourd’hui), une centaine au Sénégal (contre 350), une centaine en Côte d’Ivoire (600 aujourd’hui) et environ, 300 au Tchad (1 000 actuellement), d’après deux sources proches de l’exécutif et une source militaire.
Sous réserve d’un changement de cap, alors que la France connaîtra sous peu des élections législatives anticipées à l’issue incertaine pour le camp présidentiel, le dispositif devrait ainsi compter à l’avenir, aux alentours de 600 militaires.