Notre beau pays, le Sénégal est contrarié dans sa progression par des durs à cuire. Certains plus coriaces que d’autres, prennent toujours le contre-pied des décisions étatiques. Par des artifices, ils cherchent à contourner l’interdit pour faire du chiffre d’affaires dans un contexte délicat. Avec la propagation et la férocité de ce virus, les populations sénégalaises sont loin de vouloir un traitement inique et déséquilibré dans l’applicabilité des mesures de lutte contre le coronavirus.
Les populations éprises de justice exigent dans ce combat contre le Covid 19, la fermeté de l’Etat et de ses démembrements. Sinon, l’arsenal de mesures et autres seraient vains. Motif de cette contestation, une source, opérant en qualité de gestionnaire de restaurant, a constaté avec amertume, un déséquilibre de traitement. Puisque l’Etat avait ordonné à une date récente, la fermeture des boîtes de nuit aux Almadies Corniche. Mais, avec surprise et effarement, il a été constaté que certaines d’entre elles fonctionnent sans inquiétude aucune. Seulement, des restaurateurs, moins nantis, obligés de fermer, regrettent que d’autres, opèrent tranquillement. Il semble donc la mesure ne les concerne pas.
Recoupements faits et renseignements pris auprès d’un de ses amis, la source, joignant Leral, a découvert que le Préfet aurait soutenu que l’interdit ne concerne pas les restaurants. Mais seulement les boîtes de nuit, opérant dans la zone des Almadies-Corniche. Malgré, la présence de la gendarmerie sur les lieux, regrette-t-elle, rien n’a changé. Ces derniers devraient aider à appliquer l’interdit pour se prémunir de la propagation du virus du Coronavirus. Et la source de donner sa langue au chat. « Je ne comprends pas. Samedi dernier, la gendarmerie est passée nous donner un papier pour fermer. Ce que nous avons fait. Mais, les autres ont fait semblant pour ré-ouvrir quelques minutes après. Vers 3 heures, la gendarmerie est repassée pour ordonner de fermer. Nous avons tous reçu un arrêté le dimanche suivant. Et, nous n’avions pas ouvert », fait-elle remarquer.
Mais le dénonciateur, très virulent, précise qu’à leur grande surprise, excepté eux, tout le monde avait ouvert aux Almadies Corniche. « J’ai passé ma journée de lundi à me renseigner. En appelant, le Préfet aurait dit à un ami que les restaurants n’étaient pas concernés. Donc, nous avons ouvert à minuit. Les gendarmes étaient repassés pour fermer tout le monde sur la route. Donc JGo, Patio, Nirvana ont fermé », a révélé la source.
Ainsi, ce qu’elle peine à comprendre, c’est la réouverture des boîtes, détenues par des Libanais, de vrais affairistes. Loin de craindre les éventuelles sanctions et autres, il a été visible qu’Alkimia, Fourchette, Parilla et d’autres restaurants de la Corniche et, en ville, fonctionnent à merveille.
« Est-ce normal », s’interroge-t-on. D’après la source, la mesure d’interdiction ne doit souffrir d’aucune entorse. « Quand on dit de fermer, tout le monde doit fermer. Nous sommes patriotes et sommes prêts à nous sacrifier pour éradiquer cette maladie. Mais, il faut que tout le monde soit traité de la même manière. Ceux qui ont ouvert à l’heure actuelle seront moins embêtés que nous. S’il y a fermeture, ils gagneraient un fond de roulement. Alors que nous, nous vivons au jour le jour », regrette-t-elle.
Sous ce registre, l’Etat doit être plus exigeant pour l’application à la lettre de l’ensemble des mesures prises. Dans la situation actuelle, personne ne doit avoir une dérogation de quelque nature que ce soit, pour contraindre ou affaiblir l’efficacité de la lutte contre le coronavirus. L’appât du gain n’est pas une raison et ne devrait pas prendre le dessus sur le patriotisme et la citoyenneté. Libanais ou affairistes…, les populations n’en n'ont cure.
L’appropriation des injonctions et recommandations est une priorité nationale et ne doit souffrir d’aucune entorse face à ce combat mortel. Etant un pays à faibles moyens, nul ne devrait se permettre de faire litière des exigences étatiques contre le Covid 19.
Les populations éprises de justice exigent dans ce combat contre le Covid 19, la fermeté de l’Etat et de ses démembrements. Sinon, l’arsenal de mesures et autres seraient vains. Motif de cette contestation, une source, opérant en qualité de gestionnaire de restaurant, a constaté avec amertume, un déséquilibre de traitement. Puisque l’Etat avait ordonné à une date récente, la fermeture des boîtes de nuit aux Almadies Corniche. Mais, avec surprise et effarement, il a été constaté que certaines d’entre elles fonctionnent sans inquiétude aucune. Seulement, des restaurateurs, moins nantis, obligés de fermer, regrettent que d’autres, opèrent tranquillement. Il semble donc la mesure ne les concerne pas.
Recoupements faits et renseignements pris auprès d’un de ses amis, la source, joignant Leral, a découvert que le Préfet aurait soutenu que l’interdit ne concerne pas les restaurants. Mais seulement les boîtes de nuit, opérant dans la zone des Almadies-Corniche. Malgré, la présence de la gendarmerie sur les lieux, regrette-t-elle, rien n’a changé. Ces derniers devraient aider à appliquer l’interdit pour se prémunir de la propagation du virus du Coronavirus. Et la source de donner sa langue au chat. « Je ne comprends pas. Samedi dernier, la gendarmerie est passée nous donner un papier pour fermer. Ce que nous avons fait. Mais, les autres ont fait semblant pour ré-ouvrir quelques minutes après. Vers 3 heures, la gendarmerie est repassée pour ordonner de fermer. Nous avons tous reçu un arrêté le dimanche suivant. Et, nous n’avions pas ouvert », fait-elle remarquer.
Mais le dénonciateur, très virulent, précise qu’à leur grande surprise, excepté eux, tout le monde avait ouvert aux Almadies Corniche. « J’ai passé ma journée de lundi à me renseigner. En appelant, le Préfet aurait dit à un ami que les restaurants n’étaient pas concernés. Donc, nous avons ouvert à minuit. Les gendarmes étaient repassés pour fermer tout le monde sur la route. Donc JGo, Patio, Nirvana ont fermé », a révélé la source.
Ainsi, ce qu’elle peine à comprendre, c’est la réouverture des boîtes, détenues par des Libanais, de vrais affairistes. Loin de craindre les éventuelles sanctions et autres, il a été visible qu’Alkimia, Fourchette, Parilla et d’autres restaurants de la Corniche et, en ville, fonctionnent à merveille.
« Est-ce normal », s’interroge-t-on. D’après la source, la mesure d’interdiction ne doit souffrir d’aucune entorse. « Quand on dit de fermer, tout le monde doit fermer. Nous sommes patriotes et sommes prêts à nous sacrifier pour éradiquer cette maladie. Mais, il faut que tout le monde soit traité de la même manière. Ceux qui ont ouvert à l’heure actuelle seront moins embêtés que nous. S’il y a fermeture, ils gagneraient un fond de roulement. Alors que nous, nous vivons au jour le jour », regrette-t-elle.
Sous ce registre, l’Etat doit être plus exigeant pour l’application à la lettre de l’ensemble des mesures prises. Dans la situation actuelle, personne ne doit avoir une dérogation de quelque nature que ce soit, pour contraindre ou affaiblir l’efficacité de la lutte contre le coronavirus. L’appât du gain n’est pas une raison et ne devrait pas prendre le dessus sur le patriotisme et la citoyenneté. Libanais ou affairistes…, les populations n’en n'ont cure.
L’appropriation des injonctions et recommandations est une priorité nationale et ne doit souffrir d’aucune entorse face à ce combat mortel. Etant un pays à faibles moyens, nul ne devrait se permettre de faire litière des exigences étatiques contre le Covid 19.