«Abdoulaye Wade a tourné le dos aux efforts inlassables entrepris par le Président Abdou Diouf pour venir à bout du conflit avec l’unification du MFDC et avec l’implication de nos voisins que sont la Gambie et la Guinée Bissau (…) qui pouvaient jouer un rôle de premier plan dans la résolution de la crise», incriminent Ousmane Tanor Dieng et ses camarades.
«C’est ainsi, que ce processus devait conduire aux négociations de Banjul en 2001 pour trouver une solution définitive qui, à l’exception de la sécession, pouvait revêtir toutes les formes possibles», apprend le Bureau politique du PS dans son communiqué parvenu à notre rédaction.
Pour les Socialistes, «la gestion de la crise en Casamance est enfin le dernier domaine où se déploie l’incurie d’Abdoulaye Wade et de son régime». «Il est loin le temps où euphorique à souhait, Abdoulaye Wade promettait de régler le conflit en cent jours et où au premier frémissement déclarait la paix conclue avec dans la foulée une journée décrétée chômée et payée», ironisent Abdoulaye Wilane et compagnie.
Ils estiment que «dix ans plus tard, la Casamance connaît une recrudescence de la violence qui a replongé ses populations dans l’inquiétude et le désarroi». «Les forces de sécurité quant à elles, mal équipées et exposées à des attaques meurtrières, payent un lourd tribut à l’insouciance et à l’inconséquence du Gouvernement», regrette le parti socialiste.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
«C’est ainsi, que ce processus devait conduire aux négociations de Banjul en 2001 pour trouver une solution définitive qui, à l’exception de la sécession, pouvait revêtir toutes les formes possibles», apprend le Bureau politique du PS dans son communiqué parvenu à notre rédaction.
Pour les Socialistes, «la gestion de la crise en Casamance est enfin le dernier domaine où se déploie l’incurie d’Abdoulaye Wade et de son régime». «Il est loin le temps où euphorique à souhait, Abdoulaye Wade promettait de régler le conflit en cent jours et où au premier frémissement déclarait la paix conclue avec dans la foulée une journée décrétée chômée et payée», ironisent Abdoulaye Wilane et compagnie.
Ils estiment que «dix ans plus tard, la Casamance connaît une recrudescence de la violence qui a replongé ses populations dans l’inquiétude et le désarroi». «Les forces de sécurité quant à elles, mal équipées et exposées à des attaques meurtrières, payent un lourd tribut à l’insouciance et à l’inconséquence du Gouvernement», regrette le parti socialiste.
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com