Selon Imam Youssoupha Sarr et Cie, c’est le chemin le plus court pour redresser le secteur. Ils réagissaient ainsi à la sortie du président Macky Sall qui a promis d’injecter 65 milliards de Francs Cfa pour éviter les coupures d’électricité. Au cours d’une rencontre avec les organisations syndicales le 1er mai dernier, le chef de l’Etat avait dénoncé le gaspillage et certains privilèges accordés aux agents de la Senelec.
Imam Youssoupha Sarr président du collectif des imams et résidents des quartiers de Guédiawaye soutient : « Nous saluons la décision prise par le président Macky Sall. Mais, il urge de faire un audit financier, technique et social du secteur énergétique notamment la Senelec, le plan Takkal et l’Aser pour trouver des solutions durables à cette question ».
Pour Imam Sarr, On ne peut pas avancer si on ne fait pas l’Etat des lieux. « Si on veut avancer, on doit asseoir un équilibre financier dans ce secteur, définir une nouvelle politique de management avec une optimisation et une bonne gestion des ressources pour éviter une rupture de stock dans l’approvisionnement et une augmentation du prix de l’électricité qu’on ne saurait tolérer », souligne-t-il.
Imam Youssoupha Sarr président du collectif des imams et résidents des quartiers de Guédiawaye soutient : « Nous saluons la décision prise par le président Macky Sall. Mais, il urge de faire un audit financier, technique et social du secteur énergétique notamment la Senelec, le plan Takkal et l’Aser pour trouver des solutions durables à cette question ».
Pour Imam Sarr, On ne peut pas avancer si on ne fait pas l’Etat des lieux. « Si on veut avancer, on doit asseoir un équilibre financier dans ce secteur, définir une nouvelle politique de management avec une optimisation et une bonne gestion des ressources pour éviter une rupture de stock dans l’approvisionnement et une augmentation du prix de l’électricité qu’on ne saurait tolérer », souligne-t-il.