Dans le texte, Dakar, la capitale sénégalaise, est décrite comme "la ville qui refuse d’être comme nulle part ailleurs." En effet, pour le classement du Sénégal, New York Times s’est basé sur plusieurs témoignages dont celui de Faridah Folawiyo, une historienne de l’art et conservatrice indépendante de Lagos, au Nigéria. Elle a passé deux mois à Dakar pour une résidence d’artiste.
"Dakar, Sénégal, la ville qui refuse d’être comme nulle part ailleurs."
"J’ai atterri à Dakar dans le ciel le plus bleu que j’ai vu, des centaines de baobabs tentaculaires, de la poussière de sable et de la lumière angélique.
Dakar est une ville dont la stabilité m’a centré pendant mes moments les plus agités. C’est un lieu où la tradition traverse tous les coins de rue : la langue wolof, le partage des repas, en particulier le " thieboudienne", ou le riz rouge avec du poisson.
Le long de la Corniche, on pourrait penser que toute la ville fonctionne
"J’ai eu 25 ans à Dakar, une ville avec un sens si clair de soi, des idéaux et de l’histoire, une ville qui refuse d’être comme nulle part ailleurs, une ville qui m’a appris l’importance d’être ma propre personne, une ville qui m’a fait remettre en question ce que je veux apporter au monde, et ce que je défends. Je me suis senti habilité par Dakar. Ça m’a défendu. Je ne me suis jamais sentie en danger là-bas — et, en tant que femme noire n’importe où, c’est une chose incroyable", a témoigné Faridah Folawiyo.
"Dakar, Sénégal, la ville qui refuse d’être comme nulle part ailleurs."
"J’ai atterri à Dakar dans le ciel le plus bleu que j’ai vu, des centaines de baobabs tentaculaires, de la poussière de sable et de la lumière angélique.
Dakar est une ville dont la stabilité m’a centré pendant mes moments les plus agités. C’est un lieu où la tradition traverse tous les coins de rue : la langue wolof, le partage des repas, en particulier le " thieboudienne", ou le riz rouge avec du poisson.
Le long de la Corniche, on pourrait penser que toute la ville fonctionne
"J’ai eu 25 ans à Dakar, une ville avec un sens si clair de soi, des idéaux et de l’histoire, une ville qui refuse d’être comme nulle part ailleurs, une ville qui m’a appris l’importance d’être ma propre personne, une ville qui m’a fait remettre en question ce que je veux apporter au monde, et ce que je défends. Je me suis senti habilité par Dakar. Ça m’a défendu. Je ne me suis jamais sentie en danger là-bas — et, en tant que femme noire n’importe où, c’est une chose incroyable", a témoigné Faridah Folawiyo.