Les faits remontent en juillet 2005. Exactement dans la nuit du samedi 30 au dimanche 31 juillet. Tendis que Djibril Bitèye, alors chauffeur de taxi, déposait un client à l’unité 26 des Parcelles Assainies, il entend des détonations provenant d’une arme à feu, exactement un M16. Il s’enquit de la situation et découvre que c’est un militaire en tenue, de surcroit un membre des commandos de l’Armée sénégalaise qui semait la terreur dans le quartier.
Djibril prend son courage à deux mains et affronte le malfrat qui l’ayant aperçu l’a sommé de lui remettre sa recette. C’est alors que Djibril a foncé sur lui avant d’entreprendre une rixe avec le soldat. Dans la bagarre, le fusil automatique que tenait le militaire s’est déclenché et la balle a frôlé l’asphalte avant d’atterrir au menton du soldat qui rend l’âme sur le coup. Djibril se croyant tiré d’affaires sera pris de court par les complices de Malang qui lui assènent des coups de couteaux qui lui ont valu des hémorragies internes.
Mais l’enfer de Djibril ne faisait que commencer car après avoir mis un terme aux agissements de cette bande qui hantait le sommeil des habitants des Parcelles Assainies, Djibril se verra laissé à lui-même par les autorités. Se sentant lésé, il jette son dévolu sur la Justice. C’est à cet effet qu’il a entendu par la police et les renseignements généraux qui ont promis de le décorer pour sa bravoure et de lui procurer des soins pour ses blessures.
Depuis 2005, que nenni. Djibril, mort dans l’âme décide de se faire entendre autrement ce mercredi. A bord d’un taxi qu’il conduisait, il s’est jeté sur les grilles du palais présidentiel avant d’être arrêté et mis en garde en vue. Un acte prémédité car avant-hier, Djibril qui veut retrouver la plénitude sa santé pour nourir sa famille a rendu visite au quotidien Walf Grand’Place à qui ce quinqua, marié et père de plusieurs enfants a confié qu’il allait foncer sur les grilles du palais. Il l’a fait.
Djibril prend son courage à deux mains et affronte le malfrat qui l’ayant aperçu l’a sommé de lui remettre sa recette. C’est alors que Djibril a foncé sur lui avant d’entreprendre une rixe avec le soldat. Dans la bagarre, le fusil automatique que tenait le militaire s’est déclenché et la balle a frôlé l’asphalte avant d’atterrir au menton du soldat qui rend l’âme sur le coup. Djibril se croyant tiré d’affaires sera pris de court par les complices de Malang qui lui assènent des coups de couteaux qui lui ont valu des hémorragies internes.
Mais l’enfer de Djibril ne faisait que commencer car après avoir mis un terme aux agissements de cette bande qui hantait le sommeil des habitants des Parcelles Assainies, Djibril se verra laissé à lui-même par les autorités. Se sentant lésé, il jette son dévolu sur la Justice. C’est à cet effet qu’il a entendu par la police et les renseignements généraux qui ont promis de le décorer pour sa bravoure et de lui procurer des soins pour ses blessures.
Depuis 2005, que nenni. Djibril, mort dans l’âme décide de se faire entendre autrement ce mercredi. A bord d’un taxi qu’il conduisait, il s’est jeté sur les grilles du palais présidentiel avant d’être arrêté et mis en garde en vue. Un acte prémédité car avant-hier, Djibril qui veut retrouver la plénitude sa santé pour nourir sa famille a rendu visite au quotidien Walf Grand’Place à qui ce quinqua, marié et père de plusieurs enfants a confié qu’il allait foncer sur les grilles du palais. Il l’a fait.