Pour une Société au Service des Usagers et des Travailleurs.
Le Collectif des Travailleurs de 3 DDD
MEMORANDUM
La société Dakar Dem Dikk (3 D), société anonyme avec un Conseil d’Administration au capital social de 1.500.000 (Un milliard cinq cent millions).
Ladite société devait selon les termes des articles 60 et 67 pendre en charge les intérêts des travailleurs de l’ex Sotrac.
Les deux directeurs qui se sont succédés à la tête de Dakar Dem Dikk, et aucun n’a pu se démarquer des syndicalistes de manière objective, ce qui a entrainé un climat de corruption, favorisant ainsi des promotions de complaisance.
Les secrétaires généraux au nombre de trois sont tous des chargés de missions auprès du Directeur Général M. Moussa Diagne (deux anciens receveurs et un ex – conducteur). Les délégués du personnel sont aussi nommés Surveillants de réseaux, surveillant général, superviseur ou un chef de parc.
Ainsi, le collège des délégués perturbé, doit entraîner de nouvelles élections, les anciens ne faisant plus partie des délégués qui les avaient choisis.
Quatre cadres (sans bureau avec un traitement salarial exorbitant et la location d’une villa sur la VDN à des fins inavoués.
Trois ventes de ferraille non évaluées à nos jours par la DAGE.
La Destination des dix milles frs (10.000) prélevés par cession volontaire sur les salaires des travailleurs pour l’achat de pièces détachées, il n’y a jamais eu d’évaluation, malgré la création de la commission ad hoc (techniciens syndicalistes).
Le flou artistique qui entoure les 76 millions de publicité de la société PATISSEN/Dakar Dem Dikk pose problème.
L’institution de prévoyance maladies (IPM) connait les pires moments de son existence avec une dette qui s’accroit de jour en jour au environ de 400.000.000 faute de versement par la Direction Générale actuelle malgré les ponctions effectuées sur le salaire des honnêtes travailleurs.
Les hôpitaux, les pharmacies et les laboratoires, les cliniques et les cabinets dentaires ont cessé leur collaboration avec l’institution.
La caisse de solidarité ne joue plus le rôle qui lui était dévolu : les veuves et les orphelins n’arrivent plus à bénéficier des bienfaits de la caisse qui est une institution louable des travailleurs.
Les prestations familiales ne sont plus payées à temps ou à défaut c’est avec 01 à 02 mois de retard, faute de versement à la caisse de sécurité sociale.
L’épargne Magal est détournée au détriment des talibés.
Le départ négocié de deux cadres pour un montant de 90 millions a été le comble pour les travailleurs.
La société fictive AUTOLAND crée par M. Moussa Diagne facture mensuellement 10 millions, et malheureusement, les bus ne sont jamais nettoyés.
Le recrutement fallacieux de Mr Gaye embauché en octobre 2010 avec un rappel salarial rétroactif qui ne dit pas son nom à partir du mois de Janvier 2010, pour une valeur de 1.200.000 / Mois en lui octroyant 12.000.000 Frs dont les cinq millions ont servi à acheter un véhicule et le reste il l’a perçu en espèce soit 7.000.000 F.
Le Directeur Général Moussa Diagne a été épinglé pour 725.000.000 Frs par l’IGE.
Monsieur Cheikh Thiam ami personnel de Farba Senghor est le maître d’œuvre du morcellement et de la vente du dépôt de Ouakam à certains endroits à hauteur de 14 ha partagés entre les syndicalistes et la Direction Générale de M. Moussa Diagne.
Les cartes grises du véhicule du Chef de Centre de Formation et celui du DG Moussa Diagne sont à leur nom et non au nom de la société.
La coopérative de consommation jadis gérée par les travailleurs, est aujourd’hui aux mains de la Direction Générale et les prix qui y sont pratiqués sont des plus élevés qu’ailleurs.
La compensation était de deux milliards cinq cent millions (2.500.000.000), avec la loi des finances rectificative qui est passée, elle est à quatre milliards trois cent millions budgétisée.
Chaque trimestre, le Trésor met à la disposition de la direction générale la somme de 900.000.000, pour l’année 2011, cela équivaut à un montant global de 3.600.000, ce qui fait un surplus de 700.000 frs, malgré tous ces efforts consentis par l’État, les salaires ne sont pas payés à la date échue sans compter les recettes journalières et les bus conventionnés (école française, écoles privées et tranbleu).
Location Gamou-Magal et autres pèlerinages, les bus TATA et VOLVO ne sont pas au nom de la société Dakar Dem Dikk, mais bien au nom de la Présidence de la République.
L’assurance de Dakar Dem Dikk n’est pas partielle, selon les véhicules en cause, à cet effet, la société manœuvre avec la police d’assurance.
Parmi les nouveaux bus, 80 sont pilotés par des machinistes et non des conducteurs et il n’y a pas de receveurs inscrits pour recevoir les recettes, ce qui nécessairement favorise la fraude.
L’actuel Directeur Général Moussa Diagne est le frère de Mr. Fallou Diagne du Trésor, tous membres de la Génération du Concret.
Tout compte fait, il a profité de son statut de DARH, pour comploter avec les responsables syndicaux qui ont porté sa candidature pour le propulser au poste de Directeur Général et contribue actuellement à les placer au cœur de tous les scandales au sein de la société.
Le Collectif des Travailleurs de 3 DDD.
Le Collectif des Travailleurs de 3 DDD
MEMORANDUM
La société Dakar Dem Dikk (3 D), société anonyme avec un Conseil d’Administration au capital social de 1.500.000 (Un milliard cinq cent millions).
Ladite société devait selon les termes des articles 60 et 67 pendre en charge les intérêts des travailleurs de l’ex Sotrac.
Les deux directeurs qui se sont succédés à la tête de Dakar Dem Dikk, et aucun n’a pu se démarquer des syndicalistes de manière objective, ce qui a entrainé un climat de corruption, favorisant ainsi des promotions de complaisance.
Les secrétaires généraux au nombre de trois sont tous des chargés de missions auprès du Directeur Général M. Moussa Diagne (deux anciens receveurs et un ex – conducteur). Les délégués du personnel sont aussi nommés Surveillants de réseaux, surveillant général, superviseur ou un chef de parc.
Ainsi, le collège des délégués perturbé, doit entraîner de nouvelles élections, les anciens ne faisant plus partie des délégués qui les avaient choisis.
Quatre cadres (sans bureau avec un traitement salarial exorbitant et la location d’une villa sur la VDN à des fins inavoués.
Trois ventes de ferraille non évaluées à nos jours par la DAGE.
La Destination des dix milles frs (10.000) prélevés par cession volontaire sur les salaires des travailleurs pour l’achat de pièces détachées, il n’y a jamais eu d’évaluation, malgré la création de la commission ad hoc (techniciens syndicalistes).
Le flou artistique qui entoure les 76 millions de publicité de la société PATISSEN/Dakar Dem Dikk pose problème.
L’institution de prévoyance maladies (IPM) connait les pires moments de son existence avec une dette qui s’accroit de jour en jour au environ de 400.000.000 faute de versement par la Direction Générale actuelle malgré les ponctions effectuées sur le salaire des honnêtes travailleurs.
Les hôpitaux, les pharmacies et les laboratoires, les cliniques et les cabinets dentaires ont cessé leur collaboration avec l’institution.
La caisse de solidarité ne joue plus le rôle qui lui était dévolu : les veuves et les orphelins n’arrivent plus à bénéficier des bienfaits de la caisse qui est une institution louable des travailleurs.
Les prestations familiales ne sont plus payées à temps ou à défaut c’est avec 01 à 02 mois de retard, faute de versement à la caisse de sécurité sociale.
L’épargne Magal est détournée au détriment des talibés.
Le départ négocié de deux cadres pour un montant de 90 millions a été le comble pour les travailleurs.
La société fictive AUTOLAND crée par M. Moussa Diagne facture mensuellement 10 millions, et malheureusement, les bus ne sont jamais nettoyés.
Le recrutement fallacieux de Mr Gaye embauché en octobre 2010 avec un rappel salarial rétroactif qui ne dit pas son nom à partir du mois de Janvier 2010, pour une valeur de 1.200.000 / Mois en lui octroyant 12.000.000 Frs dont les cinq millions ont servi à acheter un véhicule et le reste il l’a perçu en espèce soit 7.000.000 F.
Le Directeur Général Moussa Diagne a été épinglé pour 725.000.000 Frs par l’IGE.
Monsieur Cheikh Thiam ami personnel de Farba Senghor est le maître d’œuvre du morcellement et de la vente du dépôt de Ouakam à certains endroits à hauteur de 14 ha partagés entre les syndicalistes et la Direction Générale de M. Moussa Diagne.
Les cartes grises du véhicule du Chef de Centre de Formation et celui du DG Moussa Diagne sont à leur nom et non au nom de la société.
La coopérative de consommation jadis gérée par les travailleurs, est aujourd’hui aux mains de la Direction Générale et les prix qui y sont pratiqués sont des plus élevés qu’ailleurs.
La compensation était de deux milliards cinq cent millions (2.500.000.000), avec la loi des finances rectificative qui est passée, elle est à quatre milliards trois cent millions budgétisée.
Chaque trimestre, le Trésor met à la disposition de la direction générale la somme de 900.000.000, pour l’année 2011, cela équivaut à un montant global de 3.600.000, ce qui fait un surplus de 700.000 frs, malgré tous ces efforts consentis par l’État, les salaires ne sont pas payés à la date échue sans compter les recettes journalières et les bus conventionnés (école française, écoles privées et tranbleu).
Location Gamou-Magal et autres pèlerinages, les bus TATA et VOLVO ne sont pas au nom de la société Dakar Dem Dikk, mais bien au nom de la Présidence de la République.
L’assurance de Dakar Dem Dikk n’est pas partielle, selon les véhicules en cause, à cet effet, la société manœuvre avec la police d’assurance.
Parmi les nouveaux bus, 80 sont pilotés par des machinistes et non des conducteurs et il n’y a pas de receveurs inscrits pour recevoir les recettes, ce qui nécessairement favorise la fraude.
L’actuel Directeur Général Moussa Diagne est le frère de Mr. Fallou Diagne du Trésor, tous membres de la Génération du Concret.
Tout compte fait, il a profité de son statut de DARH, pour comploter avec les responsables syndicaux qui ont porté sa candidature pour le propulser au poste de Directeur Général et contribue actuellement à les placer au cœur de tous les scandales au sein de la société.
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