Sous d’autres cieux, des citoyens responsables et conscients, sans coloration politicienne, à un moment donné de l’évolution et face aux divers problèmes que traverse leur capitale respective, ont répondu positivement à un Appel citoyen de leur Société civile, et souvent pour une somme d’argent symbolique. C’est le cas du maire de Djedda en Arabie Saoudite, architecte de son état ; c’est aussi le cas de ce maire de New York, qui a accepté de relever les nombreux défis d’une des plus grandes métropoles du monde, pour seulement un (1) dollar symbolique.
Atépa va-t-il esquiver cet Appel citoyen qui, tel un rouleau compresseur, ne cesse d’avancer, devant toute la communauté nationale et internationale qui l’observe et qui l’écoute ? Lui, l’Homme de «l’Année 2001», avec son Prix d’excellence de la Rts ? Lui, l’Homme qui a bâti la Porte par laquelle nous sommes tous passés fièrement pour entrer dans le 3e Millénaire ? Non ! nous ne le croyons pas ; Atépa le Bâtisseur ne se dérobera pas en 2009 comme il l’avait fait en 2002. Comme nous l’espérons, il répondra la tête haute et fièrement pour servir notre Capitale et notre pays, sans se servir ; et il acceptera le franc symbolique avec sa générosité coutumière, sans faux-fuyant et sans complexe ; car aujourd’hui, mandinka, sereer, soninké, wolof, al pulareen, mankagne, balante ou diola etc., n’importe quel citoyen de notre pays peut et doit servir Dakar, s’il en a les ambitions et les compétences, la capacité, l’intelligence et la générosité. «Ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, mais qu’est-ce que tu peux faire pour ton pays.» (J. F. Kenndy.)
Atépa le sait aussi, comme beaucoup de nos compatriotes que : «Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l’intermédiaire de représentants librement choisis.» (Déclaration Universelle de 1948, Art 21, 1).
Ainsi donc, «la Démocratie participative affirme le droit à l’intervention directe des citoyens dans la vie politique, quel que soit leur statut dans la société civile. La délégation de ce droit n’arrive qu’en second dans cette Déclaration Universelle».
Par la Démocratie participative, il s’agit globalement de la construction «d’une véritable réponse au défi du renouveau de la démocratisation de l’action citoyenne (la Citoyenneté active) que les acteurs politiques traditionnels veulent coûte que coûte étouffer pour l’empêcher de grandir et de gagner le tissu social tout entier. Alors que cette action ne travaille que pour permettre l’émergence d’une citoyenneté plus consciente, plus critique, plus exigeante, c’est-à-dire plus active ; elle travaille pour l’écocitoyenneté».
Notre Loi fondamentale, qui reconnaît à tout citoyen la Liberté d’association et le Droit à un environnement sain garantit formellement le droit à l’initiative individuelle et collective des citoyens, quelle soit culturelle, sociale, économique ; le Code de l’environnement reconnaît ce même droit aux citoyens pour le respect et la protection de leur propre cadre de vie, celui de la communauté et de tous les éléments de notre Patrimoine national parmi lesquels l’environnement occupe une place centrale (ressources foncières et minières, ressources végétales et animales, ressources humaines, les ressources culturelles, etc.).
Le Rassemblement des écologistes du Sénégal, les Verts, a toujours soutenu et soutiendra toujours tous les citoyens qui voudraient, par la Citoyenneté active, prendre part à la construction de la Cité. Car nous sommes «le Parti des citoyens sans parti», «le parti des écocitoyens», «le Parti de tous les citoyens» ; c’est-à-dire le Parti des citoyens qui veulent mettre leur intelligence au service de leur milieu, de leur cadre de vie, de leur Cité, de leur pays.
C’est pourquoi, fidèle à sa vocation et à sa mission, le Res les Verts est prêt à déployer son parapluie pour abriter tout citoyen, tel Pierre Goudiaby Atépa, qui voudrait répondre, en femme ou en homme libre, à l’Appel de la Citoyenneté active.
Ousmane sow HUCHARD
Ph. D. - Porte-parole
Secrétaire national en
charge de l’Administration
et de la Citoyenneté active
Député à l’Assemblée
nationale
Atépa va-t-il esquiver cet Appel citoyen qui, tel un rouleau compresseur, ne cesse d’avancer, devant toute la communauté nationale et internationale qui l’observe et qui l’écoute ? Lui, l’Homme de «l’Année 2001», avec son Prix d’excellence de la Rts ? Lui, l’Homme qui a bâti la Porte par laquelle nous sommes tous passés fièrement pour entrer dans le 3e Millénaire ? Non ! nous ne le croyons pas ; Atépa le Bâtisseur ne se dérobera pas en 2009 comme il l’avait fait en 2002. Comme nous l’espérons, il répondra la tête haute et fièrement pour servir notre Capitale et notre pays, sans se servir ; et il acceptera le franc symbolique avec sa générosité coutumière, sans faux-fuyant et sans complexe ; car aujourd’hui, mandinka, sereer, soninké, wolof, al pulareen, mankagne, balante ou diola etc., n’importe quel citoyen de notre pays peut et doit servir Dakar, s’il en a les ambitions et les compétences, la capacité, l’intelligence et la générosité. «Ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, mais qu’est-ce que tu peux faire pour ton pays.» (J. F. Kenndy.)
Atépa le sait aussi, comme beaucoup de nos compatriotes que : «Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l’intermédiaire de représentants librement choisis.» (Déclaration Universelle de 1948, Art 21, 1).
Ainsi donc, «la Démocratie participative affirme le droit à l’intervention directe des citoyens dans la vie politique, quel que soit leur statut dans la société civile. La délégation de ce droit n’arrive qu’en second dans cette Déclaration Universelle».
Par la Démocratie participative, il s’agit globalement de la construction «d’une véritable réponse au défi du renouveau de la démocratisation de l’action citoyenne (la Citoyenneté active) que les acteurs politiques traditionnels veulent coûte que coûte étouffer pour l’empêcher de grandir et de gagner le tissu social tout entier. Alors que cette action ne travaille que pour permettre l’émergence d’une citoyenneté plus consciente, plus critique, plus exigeante, c’est-à-dire plus active ; elle travaille pour l’écocitoyenneté».
Notre Loi fondamentale, qui reconnaît à tout citoyen la Liberté d’association et le Droit à un environnement sain garantit formellement le droit à l’initiative individuelle et collective des citoyens, quelle soit culturelle, sociale, économique ; le Code de l’environnement reconnaît ce même droit aux citoyens pour le respect et la protection de leur propre cadre de vie, celui de la communauté et de tous les éléments de notre Patrimoine national parmi lesquels l’environnement occupe une place centrale (ressources foncières et minières, ressources végétales et animales, ressources humaines, les ressources culturelles, etc.).
Le Rassemblement des écologistes du Sénégal, les Verts, a toujours soutenu et soutiendra toujours tous les citoyens qui voudraient, par la Citoyenneté active, prendre part à la construction de la Cité. Car nous sommes «le Parti des citoyens sans parti», «le parti des écocitoyens», «le Parti de tous les citoyens» ; c’est-à-dire le Parti des citoyens qui veulent mettre leur intelligence au service de leur milieu, de leur cadre de vie, de leur Cité, de leur pays.
C’est pourquoi, fidèle à sa vocation et à sa mission, le Res les Verts est prêt à déployer son parapluie pour abriter tout citoyen, tel Pierre Goudiaby Atépa, qui voudrait répondre, en femme ou en homme libre, à l’Appel de la Citoyenneté active.
Ousmane sow HUCHARD
Ph. D. - Porte-parole
Secrétaire national en
charge de l’Administration
et de la Citoyenneté active
Député à l’Assemblée
nationale